RPG +16 ans |
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| Le déchirement! (avec White Willow) | |
| | Auteur | Message |
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Le Cavalier
| Sujet: Le déchirement! (avec White Willow) Mer 19 Sep - 16:28 | |
| Cela faisait quelque temps que Mortimer n’avait pas eu de contrat de la part de Oswarlt, alors tant qu’à ne rien faire il décida de faire un petit vol chez un homme qu’il savait collectionneur, pour l’avoir croisé dans quelques boutiques d’antiquité et d’objets d’époques. Après tout, un homme se tanne de rester constamment chez lui à journée longue, de plus il ne fallait pas qu’il perde la main, il ne savait pas quand le prochain contrat se ferait voir, il devait être prêt à tout moment, et le meilleur moyen est l’entraînement.
De plus, cela faisait quelquefois que Mortimer visitait la même boutique d’antiquités. Après avoir analyser les différents systèmes de surveillance, les heures d’ouverture et de fermeture, en plus d’avoir observé les allés et venus du propriétaire, il décida qu’il était temps de passer à l’acte. Mais avant cela, il est important de dire quel était l’objet tant convoité, sans surprise, c’était un vieux pistolet datant de la Renaissance, bien qu’il ne semblait plus du tout en état de marche, cela ne posait en rien un problème. Il l’utiliserait comme objet et décoration, bien entendu il essaierait de le remettre en fonction, car comme il disait : On a jamais trop d’armes. Bien évidemment, ce genre d’objet n’est pas du tout dans les prix accessibles pour Mortimer. Il n’en était pas à son premier pistolet du genre volé, il avait déjà emprunté à long terme sans demander au propriétaire son accord et sans aucune possibilité de retour. En effet, ce serait son dixième de la sorte, il ne date pas tout de la même époque, et c’est ce qu’Il aimait beaucoup, varié les années, certains plus récent que d’autres.
Le vol se ferait durant la nuit à la boutique Le vieux de la vieille, dans le quartier adjacent à celui du Musée d’histoire naturelle. Bien que ce secteur était achalandé durant le jour, il en était tout autre le soir et la nuit tombée. Cette situation aidait grandement au désir de vol du Cavalier.
La nuit venue, Mortimer, habillé en Cavalier, passa à l’acte tel que prévu, il n’y avait personne dans les alentours. Il commença tout d’abord par désactiver les caméras et le système d’alarme. Lorsqu’il entra, il le vit, il était là sur le présentoir, protégé dans une boîte de verre. Un mince filet de lumière provenant de la Lune éclairait cette magnifique chose. Chacune des gravures dans le bois et dans la crosse était mise en valeur, cet objet représentait une œuvre en soi, c’était tout simplement superbe.
Le vol ne durant pas plus de deux minutes, aussitôt arrivé aussitôt parti, le Cavalier pris l’objet, le mis dans un sac et parti rapidement. Il n’était pas question de trainer et de se faire repérer, aucune erreur n’était permise. Maintenant qu’il avait l’objet, il était temps de partir.
Au moment où il franchit la porte de derrière par laquelle il était entré, il se rendit compte que quelque chose ne tournait pas rond. Les alentours étaient beaucoup trop calmes, bien plus que lorsqu’il était arrivé initialement, la ruelle était trop silencieuse. Il se doutait qu’il y avait de quoi qui allait se passer. Il dégainât son épée de son fourreau, accrocha le sac contenant le pistolet à sa ceinture et se mis en grade. Une soudaine dose d’adrénaline monta en lui, il avait les nerfs à vive, il était prêt à toute éventualité.
Cet à ce moment qu’apparut une lueur dans l’obscurité, malheureusement, le Cavalier eut de la difficulté à identifier qui ou ce que c’était, les réverbères de la rue n’éclairaient pas avec assez de puissance le font de la ruelle. À première vue cela semblait être une femme, avec ma foi de belles courbes, comme il est rare d’en voir de nos jours.
Qui êtes-vous, identifiez-vous ?
(Si jamais le lieu ne couvient pas, je peux toujours le changer) | |
| | | White Willow
| Sujet: Re: Le déchirement! (avec White Willow) Lun 24 Sep - 11:58 | |
| White Willow prenait chaque instant de son temps libre pour mieux découvrir les recoins de Gotham dont elle avait fait rapidement le tour lors de son arrivée , plusieurs nuit auparavant. Cela lui servait à mieux connaître cette ville qui la révulsait pourtant chaque fois un peu plus. Mais surtout cela lui permettait de faire connaissance avec quelques Gothamites et de repérer quelques objets intéressants pour son armement ou tout simplement qui pourraient lui être utiles une fois revendus. Depuis deux ou trois soirs elle surveillait un quartier adjacent à celui du Muséum d'Histoire Naturelle. Dans une rue peu fréquentée en soirée, elle avait repéré une boutique d'antiquités susceptible de faire son affaire pour peu qu'elle trouve rapidement à revendre une des pièces maîtresses du lieu : un revolver datant de la Renaissance et qui valait une petite fortune bien qu'il ne soit pas en état de marche. Elle avait décidé de se procurer cette arme ce soir avant que quelqu'un d'autre ne mette la main dessus.
La rue était calme quand elle était arrivée sur les lieux. Mais une rapide inspection du bâtiment abritant le magasin d'antiquités lui apprit que quelqu'un était déjà en train de se servir dans la boutique : les systèmes de sécurité étaient désactivés et elle avait pu entrapercevoir une silhouette vêtue d'une large cape et d'un grand chapeau à plume se faufiler au Vieux de la vieille.
*Encore un illuminé * pensa-t-telle. Ils lui semblaient légion dans cette ville où la majorité des justiciers comme des criminels semblaient vouloir se faire remarquer et optaient donc pour des costumes plutôt fantasques.Bien que cela jouait en sa faveur pour le moment puisqu'il lui serait difficile de ne pas repérer ce voleur avec un costume aussi bizarre. A coup sûr il convoitait lui aussi le revolver qu'elle était venu chercher. Il ne lui restait donc qu'à attendre qu'il sorte pour le récupérer, ce qui ne tarderait sûrement pas à se produire. En attendant White Willow refit rapidement le tour de la rue pour s'assurer que personne ne viendrait la gêner.
Il n'y avait aucun problème de ce côté là, les alentours étant déserts. Seuls parvenaient à elle les cris étouffés d'une bande d'ivrognes présents dans une rue attenante. Par précaution elle jugea plus utile de les faire fuir au cas où il leur viendrait l'idée de se rendre près de la boutique. Il lui suffit pour cela de jeter dans leur direction des couteaux de lancer qui se plantèrent à leurs pieds. Effrayés ils s'enfuirent rapidement, lui laissant le champ libre pour retourner s'occuper de son voleur.
Quand elle arriva près de la boutique il en sortait justement. Rengainant ses coutelas dans leurs fourreaux elle se mit alors à l'observer. De là où elle était, et malgré le faible éclairage de la rue, elle pouvait distinguer qu'il tenait à la main un sac contenant certainement son butin. Son visage lui était bien caché par l'ombre portée par son chapeau mais son accoutrement lui rappelait celui d'un mousquetaire. Un excentrique certainement, mais avec deux revolvers et une épée sans doute bien affûtée à la ceinture ce qui faisait de lui un adversaire dangereux. Comme pour confirmer ses pensées l'homme accrocha le sac à sa ceinture et dégaina son épée, se mettant en position de garde.
« Qui êtes vous, identifiez vous ?»
Asleif ne répondit pas tout de suite. L'homme semblait tendu, prêt à se battre. Mais il n'avait pas immédiatement remarqué sa présence. L'éclat d'un réverbère sur un de ses coutelas, lorsqu'elle les avait rangés dans leurs fourreaux avaient du trahir sa présence. Lentement elle s'avança vers le voleur, détaillant un peu plus son accoutrement, cherchant des traces pouvant lui révéler la présence d'éventuelles armes supplémentaires. Si il y en avait elles lui étaient cependant bien cachées .Tout en avançant elle dégainait de nouveau ses deux coutelas. Parvenue à une trentaine de mètres du mousquetaire elle s'immobilisa, en position de garde elle aussi. Elle ne souhaitait pas répondre à la question de son adversaire mais en avait une autre à lui poser :
«Avez vous volé le revolver daté de la Renaissance ? »
C'était tout ce qui lui importait pour le moment. | |
| | | Le Cavalier
| Sujet: Re: Le déchirement! (avec White Willow) Lun 1 Oct - 22:59 | |
| - Citation :
- Avez-vous volé le revolver daté de la Renaissance ?
Je commencerais gente dame en me présentant, je me nomme Le Cavalier pour vous servir, dit-il tout en saluant la dame devant lui avec son chapeau comme le faisait les nobles de la Renaissance. Pour répondre à votre question, oui, vous pouvez d'abord le voir dans le petit sac accroché à ma ceinture. Vous êtes malheureusement arrivé trop tard ma demoiselle.Mais que pouvait bien vouloir cette femme, pourquoi était-elle intéressée par ce pistolet, de toute façon Le Cavalier l'avait déjà en sa possession c'était à elle d'arriver avant le bandit. Il est vrai que le pistolet est très beau, mais il y a tout de même quelque peu de travail à faire dessus question qu'il soit parfait, car Mortimer n'accepte que la perfection pour les armes d'époques qu'il a en sa possession. L'attirail qu'il utilisait pour Le Cavalier démontrait bien cette situation, épée parfaitement aiguisée, il en va de même pour son couteau. Ses fusils en parfait état de fonctionnement en sont une autre preuve flagrante. Pourquoi pareille question, que voulez-vous, en quoi ce fusil vous intéresse-t-il autant? Je comprends bien le fait que ce soit une magnifique pièce, vous pouvez me croire, je suis un expert de plus à ce niveau. De plus, comme un proverbe le dit si bien : Premier arrivé, premier servi. C'était à vous d'arriver avant moi, ce n'est pas mon problème.Le Cavalier avait de la difficulté à deviner les intentions de son interlocuteur, c'était la première fois qu'il voyait cette personne. De plus, il n'avait jamais été question d'un individu répondant à la description de cette dernière dans le monde des cambrioleurs. Il ne savait pas trop sur quel pied danser, il n'avait aucune idée des intentions de la demoiselle à son égard. Il ne pouvait baisser sa garde, même devant une si belle créature. Dites-moi clairement quelles sont vos intentions envers ma personne et envers le pistolet. Il est mien, c'est mon butin, aucune négociation ne sera envisageable. Je vous prierais donc, gentiment, de repartir d'où vous venez et d'oublier ce qui vient de se passer, je ferai de même. Sauf tout mon respect, maintenant qu'il est en ma possession, il ne me quittera point. Je ne voudrais surtout pas avoir à utiliser la force et par le fait même blesser une si belle femme telle que vous. Merci.
Mortimer espérait de tout son coeur que ces paroles réussiraient à persuader la femme de rebrousser chemin, et ce sans anicroche, il ne voudrait surtout pas avoir à utiliser la force et surtout pas envers cette dernière, un tel geste ne serait pas digne d'un gentleman tel que lui. | |
| | | White Willow
| Sujet: Re: Le déchirement! (avec White Willow) Mer 10 Oct - 18:51 | |
| *Un cavalier ! Rien que ça... * pensa Asleif.. Elle n'avait pu s'empêcher de hausser un sourcil à l'entente du nom du voleur. Un bien drôle de titre pour un homme sans monture, attifé comme un mousquetaire. Mais soit, ce n'était pas l'information la plus importante de sa tirade. Ce qui comptait était de savoir qu'il était bel et bien en possession du revolver qu'elle convoitait, et elle n'avait certainement pas l'intention de le laisser partir avec. Elle écouta attentivement le reste de la tirade de son adversaire tout en tentant de repérer une ouverture dans sa garde ou un quelconque détail qui lui permettrait de prendre rapidement l'avantage contre lui. Force lui fut cependant de reconnaître qu'il n'y en avait pas et que, tout voleur qu'il était, l'homme devait également être un bon combattant. Ayant déjà eu l'occasion de lire quelques rapports de police à son sujet elle n'avait eu que peu de doutes à son sujet mais il était toujours plus sûr de se rendre compte des faits par soi même. Il s'exprimait cependant, de manière très maniérée et sa conduite lui semblait sortir d'une autre époque. Lorsqu'il l'avait saluée de son chapeau elle avait retenu un petit rire moqueur qui aurait pu froisser son voleur et engager trop tôt un combat qu'elle pourrait peut être éviter. L'homme semblait en effet avoir une sorte de code moral que d'autres auraient qualifié de « gentleman » mais que White Willow détestait par dessus tout. Dans ce milieu, répugner à frapper une femme était l'une des choses les plus stupides qu'elle ait pu voir et pouvait signer l'arrêt de mort de celui qui suivait cette règle de conduite. Et ce d'autant plus que la ville regorgeait de nombre de très bonnes combattantes, sa patronne Talia en tête, mais aussi Poison Ivy ou Catwoman. Hésiter à frapper l'une d'entre elle lors d'un combat pouvait se révéler fatal. Néanmoins, malgré la colère que lui inspirait ce genre de comportement, White Willow savait qu'il aurait été encore plus bête de ne pas tirer parti de cette information. Si elle parvenait à surprendre suffisamment son adversaire elle pourrait peut être en finir avec cette affaire en un minimum de temps. Il était cependant à l'affût du moindre de ses gestes. C'était du moins l'impression que ses paroles lui avaient laissé : bien que répugnant à la frapper, il n'hésiterait pas à se battre si elle lui montrait qu'elle voulait récupérer son butin. Il lui fallait donc biaiser pour lui faire baisser sa garde ne serait ce qu'un peu. Abaissant donc ses lames, sans les rengainer cependant, l'assassin se décida enfin à répondre au Cavalier : « Je suis White Willow, voleuse à l'occasion. Je convoitais ce revolver pour des raisons financières. Probablement la même raison que vous je suppose ? » Asleif avait fait en sorte de prendre un ton doux, éloigné de sa manière habituelle de parler, plus dure et froide. Elle avait répondu aux principales questions du voleur : son identité et les raisons de sa présence ici. Il lui fallait maintenant attendre ses réactions et guetter une ouverture, un infime relâchement dans son attitude pour en finir rapidement avec lui. Dans le cas contraire, elle engagerait le combat. | |
| | | Le Cavalier
| Sujet: Re: Le déchirement! (avec White Willow) Jeu 18 Oct - 1:35 | |
| - Citation :
- Je suis White Willow, voleuse à l'occasion. Je convoitais ce revolver pour des raisons financières. Probablement la même raison que vous, je suppose ?
Je vais peut-être vous surprendre, mais pas du tout, l’argent ne m’intéresse en rien dans ce cas-ci. Vous dire que la situation aurait la même dans une autre occasion serait vous mentir. De plus, un voleur ne peut-il pas faire quelques vols uniquement pour garder la main, c’est tout de même mon gagne-pain dont il est question. Malheureusement pour vous ma chère dame, il est en ma possession, pas question de vous le donner. Comme le dit si bien le dicton, premier arriver premier servi. C’était à vous de vous présenter plus tôt. De plus j’ai la légère impression qu’avec le grand nombre de boutiques du genre dans cette ville, que vous trouverais pleinement ce que vous cherchez.Aucun des deux interlocuteurs ne voulait céder un centimètre, ils défendaient avec véhémence leur position. Le seul problème face à cette situation, c’est que Le Cavalier ne veut en rien poser le premier geste, pas question pour lui d’attaquer une femme. Il ne veut pas du tout violer son code d’honneur qu’il s’était imposé à travers les années. Mais pas question non plus pour lui de remettre son butin. Il fallait que Mortimer fasse passer son message de la façon la plus efficace possible tout en ne paraissant pas hostile, pas question de rendre la situation plus chaude que ce qu’elle était déjà. Le choix des mots était très important, un accident est si vite arrivé. Loin de moi l’idée de vous faire quelque menace que ce soit, je constate de que nous déjà tout à cran. Être vous, je quitterais les lieux je retournerais chez moi, pas question de faire un bain de sang ici, ce pistolet n’est vos pas la peine. Bien que celui-ci soit magnifique, la violence ne résoudra en rien notre problème, mais si jamais vous me forcez à y faire appel, je n’hésiterai pas une seconde.À situation exceptionnelle mesure exceptionnelle, dans une occasion autre, cela aurait fait longtemps que Mortimer aurait été plus hostile envers son interlocuteur. Il n’aurait pas hésité aussi à poser le premier geste question de faire comprendre à son ennemi le sérieux de la situation. Il fallait que quelque chose ce passe, cette situation ne pouvait durée éternellement. Mortimer tenait tout de même à éviter la confrontation le plus possible. De plus, dire qu’il n’avait aucune crainte serait mentir, son adversaire est tout de même un assassin, il ne craint en rien de tuer la personne devant lui, c’est son travail. Restait plus maintenant à savoir comment White Willow allait réagir, ce déciderait-elle à quitter les lieux ou à engager le combat. Peut importe, pas question pour Le Cavalier de baisser sa garde, du moins tant et aussi longtemps qui l’avait dans sa ligne de mire. | |
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