Catwoman/Sélina Kyle
Localisation dans Gotham : East Side
| Sujet: La nuit vas être longue [Post Unique] Jeu 19 Juil - 10:08 | |
| Post unique17 juin 2012- 21h30 Old Gotham-China Town- Les toits autour d'une boutique d'antiquités exotiques Ça vas faire maintenant prés d'une heure que les propriétaire des cette boutique de China Town ont quitté les lieux. Qu'est ce que j'attends ? Que les brutes épaisses qui tournent autour de l'échoppe se décident soit à quitter les lieux soit à forcer la porte en premier. Je ne sais pas qui ils sont, ni ce qu'ils veulent. Tout ce dont je suis sur c'est qu'ils sont armés jusqu'au dents, que des mitraillettes se balancent nonchalamment sur le dos de cinq d'entre eux et que ce soir, il marchent sur mon terrains et ça ne me plaît pas du tout ! La concurrence j'en fait du pâte pour chat, surtout quand il s'agit de mafieux avec autant d’éthiques qu'un banc de requins ! Je les observe du haut du toit d’un immeuble dans l'ombre, ils ne m'aperçoivent même pas. Je juge un peu leurs niveaux. De la masse musculaires ils ont en à revendre … Mais c'est bien beau d'être monter comme un body builder si on ne sait pas se servir correctement de ses bras et de ses jambes ça n'avance à rien. Et j'ai tout l'impression que ces gars là savent se battre comme des majorettes... En revanche pour les mitraillettes sa risque d'être un tout autre problème on ne confit pas ce genre d'instruments là à des bleus incapable de viser. C'est des ces cinq homme que je vais devoir me débarrasser en premier. Je vais faire un peu de ménage chez les yakuzas ce soir....
Les hommes en bas sont aussi discrets que des gorets dans une ferme, l'un d'entre beugle des ordres aux autres en japonnais et ont lui réponds a peu prés de la même façon... Je crois bien qu'ils ont un peu trop bu pour ce qu'ils s’apprêtent à faire. Ils commencent à encercler le bâtiment, les mitraillettes sont chargées et ceux qui les porte se placent aux fenêtres et devant l'entrée. Ça ne vas pas mais alors pas du tout. Ce que je suis venue chercher une magnifique statue de chats faite de métaux et pierres les plus chers et les plus fines est placée juste derrière l'une des fenêtre, il y a bien un meuble de bois précieux qui la sépare de l'ouverture, mais ce ne sera rien face une rafale de tirs. Il est temps que j'agisse et que j’arrête leurs manège si je ne veux pas voir ma cible volée en éclat. Je me relève prestement et lance mon fouet dans la nuit. IL s'accroche à un lampadaire en claquant je saute de mon perchoir et je me balance d'un bout à l'autre de la rue je profite de mon élan pour remonter et atterrir sur le toit d'en face tandis que mon fouet se désenroule de la barre de métal auquel il était accroché. Je suis passée juste au dessus de l'un des hommes de mains, il n'a absolument rien remarqué. Ses lourdeaux sont pathétiques. Je jette un dernier coup d’œil sur la rue et je fait volte face pour m'élancer dans une couse folle sur les toits qui me permettra de mettre hors circuit ma première victime, quand un point vient violemment heurté mon estomac et me projette à quelques centimètres du rebord.
Je n'ai rien compris, je n'ai rien vu venir ! J'ai le souffle coupé et mon ventre me fait horriblement souffrir. Mon cerveau à du mal à faire le lien et je suis sonnée, mas mains cherchent un appuie au sol pour m'aider à me relever tandis que mes yeux fouillent l'obscurité à la recherche de mon assaillant. Il est caché dans l'ombre, je n'arrive pas à discerner sa présence quand tout à coup je vois deux immenses yeux jaunes s'allumer au beau milieu des ténèbres . J'ai le souffle court et mes yeux s'agrandissent de surprise. Je ne sais pas à qui j'ai affaire mais je sais désormais ou il est et si il m'as eu par surprise il ne vas pas m'échapper ! Mes réflexes prennent le dessus et je me relève presque aussitôt pour foncer sur ma proie. Il ne bouge pas d'un pouce . Je me jette à terre au dernier moment pour le tacler et le mettre au sol mais il m’esquive d'un bond. Je vois des traits briller dans les ténèbres et j'entends le sifflements caractéristiques des lames lancées vers leurs cibles. C'est un lanceur de couteau !!! Je me relève aussi vite que possible et enchaîne avec une roulade pour m'éloigner du lieu de tir, mais trop tard . Ce type est diablement rapide ! J'ai évité de justesse trois de ses couteaux mais le derniers s'est enfoncé avec l'aisance d'un couteau à beurre dans ma chaire juste au dessus de ma hanche. Je l'arrache immédiatement et compresse la plaie d'une main, il se peut que la lame soit enduite de poison. Je ferme les yeux un instant le temps de m'habituer à la douleur, je ne suis pas sure mais je crois que le couteau n'est pas passé très loin d'un nerfs. Ça vas être beaucoup plus compliqué de bouger maintenant.
Je relève la tête mon ennemi à bouger il n'est plus dans mon chant de vision. Je me tourne pour embrasser le reste du toit du regard, la paume d'une main ganté et renforcée vient frapper mon visage avec hargne je tombe à la renverse et ma tête heurte le béton dure et froid. Je vois trente six chandelles mais je sais que je dois me reprendre. J'envoie presque aussi tôt mes deux pieds en avant heurter le menton- ou plutôt ce que je supposes être le menton sous le masque- de mon adversaire. Apparemment il je le prend au dépourvu car cette fois ci il n'a pas le temps de parer et prend le coup de plein fouet , je vois ses deux yeux jaunes disparaître derrière mes pieds. J’enchaîne en poussant sur mes bras pour terminer de le projeter en arrière et j'en profite pour me remettre sur mes deux pieds . Quand j'atterris au sol je manque perdre l'équilibre. La douleur dans ma hanche se fait plus vive et la blessure commence à me brûler j'appuie sur la plaie avec ma main pour faire passer un peu la douleur . Mais j'ai perdu un temps précieux mon adversaire reviens à la charge et il profite de mon moment de faiblesse pour me lancer à nouveau des couteau . J'entends les sifflements des lames qui brisent le vent et je me jette sur le coté , une lame vient se planter dans ma cheville droite l'autre dans mon épaule . Je m'effondre au sol. J'ai mal, mais si je ne bouge pas je suis morte . J'arrache à nouveaux les couteaux, des larmes coulent sur mes joues. Je me relève malgré tout lentement. Je sais qu'il est derrière moi , je sens sa présence.... Il s'approche, je crois qu'il veut me donner le coup de grâce.... Je respire l'air douloureusement, il me brûle au fur et à mesure qu'il descend dans les poumons mais ça m'aide à garder les idées claire. J'ai affaire à un assassins surentraînes et très très très rapide. Ça doit être l'un des sbires de Talia, même si l'uniforme ne correspond pas je ne vois que cette solution....
Il 'est plus qu'a quelque centimètres de moi, le son des ses vêtements me dit qu'il à levé son bras. Je n'ai plus beaucoup de temps pour réagir. Je fléchis mes jambes et j'ignore la douleur. Puis j’effectue un bon en arrière une seconde avant qu'il n’abatte son bras sur moi. Je me retrouve derrière lui mais je ne m'autorise aucun répits. Je sort mon fouet et l'enroule d'un coups sec autour de la gorge de mon adversaire. Je l'attire rapidement vers moi et fracasse sa tête contre mon genoux. Il vas être sonné quelques secondes, j'en profite pour ramasser un des ses couteaux à terre et je le plante dans son épaule droite de façon à l’empêcher de la bouger. J'ai sectionné un nerfs mais je ne m’arrêtes pas là. Je tire d'un coup sec sur la lame pur l’emmener taillader les muscles du bute et je m’apprête à faire subir le même sort à son épaule gauche quand il m'attrape à la gorge et ramène ma tête contre le sol d'un coup rapide et brutal. Mon crane heurte une nouvelle fois le toit de l'immeuble je commence à en avoir marre de le voire se rapprocher de mon visage aussi rapidement aussi souvent. Mais là je suis plus que sonnée , je n'arrives pas à me reprendre, il a frappé fort , trop fort pour que je sois tout à fait consciente. Je le sens m'attraper par le col et me relever lentement. Il pense avoir gagner.... Qu'il attende que je reprenne totalement mes esprits !! Attendez.. ???!! Il m'a saisit avec sa main droite j'ai pas rêve ?? Comment c'est possible je lui ait sectionner un nerfs il ne devrait plus pouvoir s'en servir ou seulement avec difficulté ! Qu'est ce que c'est que c'est délire ? C'est quoi ce type ??
Je commence à paniqué sérieusement, mais je ne peux toujours pas bouger. Le type me met à genoux . Mon fouet est encore dans ma main. J'ai du mal à déglutir. J'ai envie de crier, mais l'homme me prends de cour.
"Catwoman, la cour te veux auprès d'elle et ta vie lui appartient désormais !"
Quoi ?! Qu'est ce qu'il à dit ? Il vas pas bien ou quoi ? Il n'est pas là pour me tuer ?? Alors pourquoi il m'a amocher de la sorte et c'est qui cette « cour » ? Pour qui il se prend ? J'essaye vaguement de me débattre mais ce n'est pas très efficace. Il tire sur mon cou pour me remettre sur mes pieds, apparemment il bien l'intention que je le suive même si il faut me traîner pour ça.... Il rêve... Je reprends peu à peu mes esprits et nous sommes au milieu du toit quand je peux enfin bouger. Je sais que dans mon état je ne m'en sortirait pas en me battant , ce type est terriblement fort alors je me concentre et je plante mes griffes dans un point faible de son armure , je déchire le tissus et je plantes mes griffes juste sous son aisselle . Ça vas faire assez mal pour qu'il me lâche et l'effet ne se fait pas attendre. J’enchaîne avec un coup de fouet qui le déstabilise et le fait reculer j'en profites pour prendre mes jambes à mon cou. Ça me fait mal mais je sais que si je m’arrêtes je suis morte alors je cours à en perdre haleine et je saute de toit en toit à l'aveuglette. Je sais qu’il est derrière moi, il me suit et je suis à peu prés sûre qu'a chaque minute il gagne du terrain. Un couteau vient siffler à coté de mes oreilles , puis un autre . J'accélère. Une lame vient se planter dans ma hanche droite . Je tombe à terre. J’arrache la lame et ce coup ci je profite de la lueur d'un réverbère à coté de moi pour l'examiner un instant. C'est un couteau de bonne facture. Un surin, un couteau de professionnel, un modèle historique avec le tranchant lesté au mercure... J'ai affaire à un connaisseur. Sur la poignée une dessin. Un hiboux, un hiboux avec d'immenses yeux jaunes. … Ça avec le costume du type et ce qu'il à dit me rappel cette vieille comptine avec laquelle on nous à bassiné à l'école. Celle sur la cour des hiboux. Ça me paraît suspect et invraisemblable, mais le type se rapproche j'entends le bruit de sa course , alors je recommence à paniquer et tout ce mélange dans ma tête , je me relève prestement et maladroitement je jette un coup d’œil vers la silhouette qui se rapproche. Je reprends ma course. Il faut que je me tire de là, que je lui échappe ! Mais on échappe pas à la cour des hiboux et encore moins à leur assassin. Je dois fuir ! Je ne sais pas par ou mais je dois trouver un moyen de lui échapper. Je cours à travers le nuit, je traverse les quartiers sans que quiconque n’entende mon appel au secours silencieux. Même si je hurlais je n'obtiendrai pas d'aide je le sais. Alors j'économise ma salive et je fonce à toute vitesse l'ergot de la court des hiboux sur les talons. >>Se poursuit dans Proie Végétale et La chasse aux fous | |
|