Votre PersonnageNom : Crane
Prénom : Jonathan
Âge : 36 ans
Sexe : Mâle
Nationnalité : Américaine
Groupe : Criminel
Alias : Scarecrow / L'épouvantail
Affiliation : Ennemis de Batman
Orientation sexuelle :Hétérosexuel
Statut : Célibataire
Profession : Docteur en psychologie, spécialisé dans l'étude de la peur et des phobies.
Description physique : Depuis son enfance, son corps reste chétif, fragile, formant de longs membres sans la possibilité de ramasser une peux de graisse sur les os. Ses cheveux bruns se dressent de tous les côtés sans pouvoir les placer autrement que leur volonté initiale. Chaque détail de son physique peu commun faisait de lui un épouvantail, les autres lui rappelant régulièrement ses traits. Ses yeux bleus n'arrangeaient rien à la vision de son corps, même si la couleur mettait plus de douceur à son teint cuivré. Une paire de lunette sur le nez pour la lecture complétait l'ensemble de son physique. Normalement, il portait une chemise simple lors de ses études, s'habillant d'un sarrau au travail. Plutôt vu comme intelligent au lieu de son charme, il savait cacher ses émotions derrière une barrière invisible.
En tant que super criminel de la ville de Gotham, son image est caractéristique du surnom qu'on lui avait donner. Un sac de jute sommairement cousu, formant une bouche tordue et des yeux profonds et noirs, ce visage déformer ne rassure pas les gens bien avant de recevoir la toxine. À l'intérieur et camouflé par les plis difforme du sac, un masque avec filtre empêche le docteur de respirer ses propres toxines. Le reste de ses vêtements suivent les forme longues et minces de ses bras et jambes. Une lourde corde est pendue après son cou en guise de cravate. Oubliant toute les couleurs, il reflètes le beige, le brun et le noir salis par la poussière. Parfois il possède un gant muni de plusieurs seringues qu'il utilise pour remplir le sang de ses victimes d'un produit hallucinogène. Un grand chapeau vient coiffé sa tête, tout aussi difforme que le reste de son habit. Son ombre elle-même ne supporte pas la vue de l'homme à laquelle elle est accrocher.
Il possède peu d'armes à son actif, préférant ses gaz toxiques pour simuler la peur et prendre la fuite en observant les effets chez chaque personne aspergée. Il garde quand même près de lui deux révolvers, en souvenir de ses deux utilisations dans sa vie antérieure. Pour effrayer d'avantage et compléter son costume d'épouvantail, il se promène parfois avec une faux qu'il utilise en cas de problème. Encore une fois, l'utilisation de toxines est avant tout son objet de défense préféré.
Description psychologique : Persécuté depuis l'enfance, d'abord par sa grand-mère, puis les enfants, il a développé une sorte de solitude et une barrière devant les sentiments, se retirant dans ses recherches, se donnant un but virtuel. La vengeance conduit souvent ses actes les plus violents, créant la mort. Il ne se réjouie pas de la perte de la vie comme le pensait les psychiatres l'interrogeant sur ses gestes. Au contraire, il démontre un esprit d'analyse scientifique poussant sa recherche cruellement, ne se souciant pas que sa médecine puisse tuer et pas seulement faire vivre un moment d'anxiété énorme. Ayant étudier l'esprit humain et son fonctionnement au travers de ses longues années d'études, Jonathan Crane sait tourner les phrases pour faire douter les gens qui lui parle afin de garder un contrôle sur l'entrevue. Pensant que tout est contrôler par la peur, lui essaie au contraire de canaliser ce sentiment, cet état particulier souvent poussé par l'instant primaire, pour en connaître tous les fondements. Il ne fait pas que pousser la frayeur chez ses victimes, il enlève parfois cette chose qui bloque certaine action. En retirant toute la peur, des hommes et des femmes commettent des actions impossibles et dangereuses.
L'esprit d'analyse et son bon sens la garder en de bon terme avec ce qui l'entour. Il ne prend pas vraiment parti parmi les gangs, mais choisis plutôt des projets qui amélioreront ses recherches et de ce fait, les produits à donner aux humains. Cacher derrière son masque de jute, il cherche encore les mots manquants dans la phrase pour saisir la peur et pouvoir la lire. Il utilise parfois ses propres gaz sur lui-même pour en noter les effets par après. Cette consommation n'est pas régulière et n'a aucune compulsion pour en prendre d'avantage. Isolé du reste du monde, il se calme dans les salles de traitement comme l'asile en attendant d'être libérer et continuer ses recherches. Comme le Docteur Stephen Kellerman disait, cet homme est stable mentalement mais son unique but dans la vie est de découvrir tous les fondements, toutes les réactions que la peur peut engendrer chez une personne.
Histoire : «La peur, c'est le pouvoir»
Avoir su que la peur aurait conduite ma vie ainsi et encore aujourd'hui, je l'aurais laisser m'envahir plutôt car la peur, c'est le pouvoir. J'aurais pu le savoir, le comprendre bien avant que commence mon histoire, mais je fus niais, l'esprit embrouillé par d'autre préoccupation. Ce serait futile de raconter mon histoire, mais puisque vous insister pour la connaître, la voici.
Le jeune garçon élancé, maigrelet et sans beauté aucune, fut élevé par sa grand-mère. Il allait à l'école, revenait, mangeait et dormait comme tout enfant normal aurait fait. Ce n'était ni extraordinaire, ni passable d'écrire un bouquin encore ce passage de vie. Seulement, il y avait une différence entre lui et les autres garçons de cet âge; au lieu de jouer avec les autres enfants, il s'enfermaient pour lire des ouvrages complexes, des recherches chimistes de niveau universitaire et des thèses dont il imaginait les résultats. Il était intelligent. Le garçon ne racontait pas ce qui se passait en dehors de la maison, craignant les représailles d'un mouchard et les conséquences que sa porterait physiquement. Il taisait la vérité à cause de la peur. À vrai dire, une jour, une bande de costaud le tirèrent par le col de son gilet jusqu'à une haute clôture. À l'aide de cordes, ils maintinrent ses bras à l'horizontal de chaque côté de son corps. Les pieds pendant dans le vide, il essayait de fuir au lieu de jouer la victime de ces brutes. Le plus grand d'entre eux lui posa sur la tête un chapeau de paille. Des curieux s'avancèrent riant du malheur d'autrui. Les membres minces et les joues creusent, on le compara à Ichabod Crane, nom dont ils l'affublèrent en ce moment. Il refusait encore la honte qu'il subissait et resta là jusqu'à ce que sa grand-mère le déclare disparu. Ce fut les policiers qui le détachèrent de son mur. Il ne dit mot de ce qui s'était passé. La fessée l'attendait déjà dans la petite maison, châtiment qui devint une action régulière.
Il atteignit le lycée après avoir réussi brillamment son diplôme. Les gens qui le persécutait à la petite école le suivit également dans cette nouvelle étape. Outre que les constantes persécutions, il découvrit dans ce bâtiment un premier amour, bien qu'il ne l'avoua jamais et que la jeune femme avait ignorer à son tour. Puis, ils s'en prirent à elle durant la journée. Rageur et dégustant l'avenir d'une vengeance propre, il se trouva l'ombre d'un costume qui lui inspirait les injures dont il était la cible depuis sa jeunesse. Il admira le résultat dans la glace, baissa la poche de jute sur son visage mince et apprécia l'apparition de l'épouvantail. Dans les plis de sa tunique, il glissa le révolver qui gisait inutile dans le tiroir de sa grand-mère et quitta la maison sur la pointe des pieds. Il sortit de l'ombre en menaçant de son arme la bande qui faisait la fête dans des voitures. Surpris et effrayés, les jeunes gens poussèrent le conducteur à démarrer la voiture et fuir le plus loin possible de la menace. Le conducteur obéit à sa peur et appuya sur l'accélérateur. Le chemin ne fut pas très long pour eux. Perdant le contrôle du véhicule, ils percutèrent un arbre, tuant la jeune femme sur le coup. Les deux autres furent blessés gravement. Ce fut sa première apparition.
«Plus contagieuse que la peste, la peur se communique en un clin d'œil»
Il fut accepter en psychologie à l'université de Gotham. Le jeune étudiant spécialisa son étude sur le phénomène de la peur et de la phobie des gens. Que ce soit pour la survie ou par choix, l'homme agit toujours par la peur. Cet état conduit les gestes, les pensées et même les relations humaines. Dans la dernière année, il fut emmené à faire un exposé sur un sujet au choix de l'étudiant, qui fut sans conteste le peur. Pour prouver sa théorie par un fait, il sortit de son manteau la même arme qui lui servit pour une circonstance presque semblable. Il tira vers l'arrière de la classe sans laisser à quelqu'un le loisir de réagir au premier instinct de survie. Ce geste provoqua la paralysie chez certain, des cris chez d'autres et la fuite des derniers. Alertés par le coup de feu, les gardiens de l'établissement scolaire arrivèrent dans la classe et se saisirent de l'étudiant qui avait posé l'arme sur le bureau, continuant son exposé en comparant ses données à la réactions des gens de la salle. Ils livrèrent le jeune homme à la police locale qui commencèrent une enquête. Expliquant son geste sans volonté de tuer ou blesser volontairement quelqu'un, les autorités questionnant tous les témoins de la scène, il fut suspendu pour une année entière durant laquelle sa grand-mère décéda dans des circonstances mystérieuses. Il commença à créer des substances faisant des illusions mineures et des altérations au niveau de l'esprit. Il cherchait à faire ressortir dans la tête des gens leur peur la plus profonde. Mais pour cela, il devait avant tout accéder à plus de ressources, autant matériel qu'humaine.
L'asile d'Arkham, on ne pouvait souhaiter mieux comme endroit pour tester ses recherches et découvertes. Il pouvait aussi développer sa thèse sur la peur et le développement progressif avec une aide extérieur telle qu'une toxine inhalée. Il prodigua des soins particulier aux patients qui lui étaient confiés, expérimentant des trainements dont la direction de l'établissement n'aurait pas approuvé les essaies. Le docteur Crane regarda au travers d'un hublot de la porte verrouillée où un détenu commençait à pousser des choses invisibles de son corps à l'aide de ses mains. Plus la toxine agissait, plus le temps passait, plus le traitement altérait l'esprit du malade dans ses pires craintes. Les problèmes commencèrent lorsqu'un patients régulier de ce psychiatre mourut d'une crise cardiaque suite aux traitements administrés. Les notes d'expériences effrayèrent ceux qui en lisait les textes d'analyses. Le directeur de l'asile signa les papiers de renvois, indiquant qu'il avait fait des expérimentations dangereuses sur des êtres humains. On l'emmena dans une cellule de la prison. Il était jugé coupable de ses actes.
«La souffrance à ses limites, pas la peur»
La situation se répéta encore. Prenant pour cible certain de ses professeurs et collègues, enfilant le costume améliorer de l'épouvantail, il expérimenta bien plus que la présence d'une arme à feu devant une foule. La police retrouva toutes les victimes de ce nouveau criminel, l'une après les autres, mort dans des positions de frayeurs. Certains avaient les yeux retournés, d'autre s'étaient entaillés eux-mêmes la peau à l'aide d'objet divers pour enlever on ne sait quoi de la peau. Le pire fut la femme qui s'était arraché le visage. Personne ne su ce qu'elle avait vu dans son miroir.
On l'enferma dans sa propre cellule à Arkham, prenant en plein délies l'observation d'une de ses victimes. Les audiences envers ce patient ne menait à rien. Le docteur qui l'examinait, le questionnait, revenait toujours à ce même diagnostique que cet homme était sain d'esprit, peut-être cruel mais pas fou.
Cassette numéro 1
- Spoiler:
Docteur Jonathan Crane et un garde de sécurité
«Entrevue du patient numéro 1. La patient a été transféré après un accident avec le docteur Murphy. Il semble souffrir d'une légère dépression. Je crois qu'il a été emmené ici après avoir perdu sa femme et son fil. Jusqu'ici, le patient à été incapable de parler. Les observation continu démontre qu'il a une petite activité mentale. C'est comme si le choc de ce qu'il a vu a altérer son esprit.»
«Il y a quelqu'un ici! C'est lui! On l'a trouvé! Brisez la porte!»
«Note à moi-même. Comme d'habitude, c'est difficile de continuer mes recherches sous quelque condition.»
«Recule du docteur Combs. Maintenant! Allonges-toi sur le sol! On l'a trouvé. Que quelque aille chercher un médecin. Mon Dieu, qu'est-ce qu'il lui a fait?»
Cassette numéro 2
- Spoiler:
Docteur Stephen Kellerman et Jonathan Crane
«Entervue du patient numéro 6. Docteur Crane est de retour pour trois semaines. Des sessions régulières sont prévus au long de son séjour. Je ne suis pas certain qu'il est fou.»
«Bonjour, Stephen. Comment allez-vous aujourd'hui?»
«Je conduis cet session Jonathan.»
«C'est certain. Si ça peut vous aider, je ne voulais pas aller dans une autre direction.»
«Parlons des évènements qui se sont produits il y a trois semaines. Que croyez-vous vous avoir fait? Docteur Murphy est encore en thérapie.»
«Je voulais le comprendre. Son démon personnel. Sa peur. Tout est si fascinant, vraiment.»
«Mais vous étiez....un docteur respecter. Un esprit brillant, mais maintenant qu'un autre résident d'Arkham.»
«Est-ce que je peux avoir quelque chose à boire? Quelque chose de fort. Ce genre de question m'ennuie terriblement.»
«J'ai bien peur que non.»
«Choix de mots intéressants, Docteur. Dites-moi, par quoi êtes-vous effrayé?»
Cassette numéro 3
- Spoiler:
Docteur Stephen Kellerman et Jonathan Crane
«Interview du patient numéro 9. Docteur Crane continu de contourner mes questions. Je crois qu'il est simplement sain d'esprit. Juste cruel. Il n'a aucun intérêt envers les gens qu'il blesse. Ses recherches semblent la seule chose qui le motive dans sa vie. Qu'est-ce qu'il ya par rapport à la peur qui conduit votre obsession?»
«La peur conduit tout, Stephen. Tout. Votre vie est gouvernée par la peur. Chaque décision que vous prenez est un produit de la peur.»
«Ne soyez pas ridicule.»
«Vous aviez marier votre femme...Margaret, n'est-ce pas?...Car vous étiez effrayer de mourir seul. Vous avez des enfants car vous avez peur de quitter ce monde sans avoir laisser quelque chose derrière vous qui avait un sens. Vous allez chez le docteur car vous avez peur de la mort. Ai-je besoin de continuer?»
«Non, je crois que ça va être tout pour aujourd'hui. Garde!»
Cassette numéro 4
- Spoiler:
Docteur Stephen Kellerman, Jonathan Crane et un garde de sécurité
«Aujourd'hui, j'ai un autre entrevue avec Crane. Je ne peux pas dire que je suis impatient d'y être. Je me sens anxieux. Je n'aime pas l'admettre, mais...je crois qu'il a une griffe sur moi.»
«Comment allez-vous aujourd'hui?»
«Je continus de vous le répéter, c'est ma session.»
«C'était votre session, Docteur, mais plus maintenant.»
«Êtes-vous correct Docteur?»
«Je crois...oui....je»
«Oh, il va bien. Juste une questionnement sur son emprise sur la réalité. Vous devriez faire la même chose à chaque seconde.»
«Maman? est-ce que c'est toi? Attend, mais qu'est-ce que tu fais?»
«Enlevez vos mains de sur moi....aidez-moi. J'ai besoin d'aide. Je ne peux plus respirer!»
«Comme je disais...Vous êtes tous une partie de mon expérimentation maintenant.»
Cassette numéro 5
- Spoiler:
Docteur Stephen Kellerman, Jonathan Crane, un garde de sécurité et Batman
«Asile, entrevue numéro 1. Mon expérience est en cours. Travaillant seul, j'ai créer mon ultime gaz de peur, ça pourrait être une révélation.»
«Ah! ahh! Ils sont tous sur moi!»
«'Sil-te-lait! Papa, ne fait pas ça! ah! ahh!»
«Approchez pas! Approchez pas! Approchez pas!»
«J'ai propulser assez de gaz dans le centre médical pour briser 100 esprits. C'est surement une question de temps avant (bruit de glace) Quoi?»
«Rends toi, maintenant!»
«Comment...comment est-ce que tu reste encore debout? Comment ça ne peut pas t'affecter?»
«Qu'est-ce qui te dis que non?»
«Je le sais. À quoi ça ressemble? Qu'est-ce que tu as vu?»
«Officier Cash. Mettez cette formule dans le système d'air conditionnée. Maintenant! Tu as perdu, Crane. Encore. J'ai travailler avec le Docteur Kellerman, créant un antidote à la toxine dans ton eau de cologne. Il ta trompé Crane. Comment est-ce que tu te sens? Trahis, humilié? Effrayé?»
Durant une de ses sorties, il s'intéressa à Batman qui créait l'effrois chez les petits et grands vandales de la ville. Certains n'osaient plus sortir de nuit par la crainte de se faire coincer par le justicier. Crane observait de loin les réactions, tenta lui-même de faire approcher cette icône et lui faire vivre la même chose qu'il créait. Pas seulement docteur en psychiatrie, l'homme continuait ses recherches en chimie et la formule était stable. Une drogue vaporisé qui entrait dans les poumons. Il réussi à prendre le Batman dans son piège et lui aspergea le visage de sa substance. Tout stimulant avait son antidote, et cet homme, la chauve-souris, de l'aide pour venir la chercher. L'épouvantail perdit cette bataille, mais ça ne découragea pas ses actes. Au contraire, la présence de Batman dans la ville lui redonna des sujets d'expérimentation et de nouvelles idées afin de tester ses théories sur la peur.
Poussé par d'autres criminels qu'il côtoyait en prison ou à l'asile, il commença à vouloir plonger le monde dans la frayeur. Pas simplement une peur profonde ou une soumission de l'autorité. Il voulait que le monde ait peur de toute autre chose que soi pour observer un phénomène de masse. Il trouva un moyen de sortir encore de l'asile, plaidant la bonne conduite et esprit sain. Avec l'aide, il produit une toxine liquide et inoffensive en grande quantité. Pendant plusieurs jours, il déversa la substance liquide translucide dans les canalisations de la ville de Gotham. Après le vol d'une machine technologique pour vaporiser l'eau, il fit exploser bien des valves sur le chemin du métro. La panique s'installa rapidement sur le chemin de la machine. Mais encore une fois, bien avant qu'il puisse observer la situation qui se créait, le justicier l'arrêta une autre fois, mettant fin à son expérience d'envergure.
De retour dans sa cellule, sa raison continuait d'agir comme si la vie était normale derrière les barreaux. Il entra et revint plusieurs fois, s'alliant et négociant pour agir et cerner complètement la peur. Faire comprendre au monde que la peur dirige tous nos choix, que le destin n'est qu'une croyance mais que la peur est réelle.
Famille : Aucune
Alliés : Aucun
Ennemis : Batman
Compétences :- Chimiste
- Psychologie humaine
Armes :Hors JeuPrésentation : Admin et fondatrice du forum, j'ai 23 ans, 12 ans d'expérience sur forum, je connais l'univers de Batman, mais meilleur en codage! Je suis une fille si vous ne l'aviez pas encore su! J'ai jouer différent rôle au travers des années sur internet. J'ai quelque récit en cours d'écriture, mais je préfère partager mon talent pour les phrases et mon imagination dans une collectivité au lieu de le faire seule. J'ai adorer construire se forum avec l'aide de mes joueurs et de mon équipe de modération! Le résultat et beau et je veux le tenir comme ça longtemps. Donc voila, je passe d'une folle notoire sur un autre forum à un personnage un peu plus sérieux obsédé par ses recherches. J'espère que la fiche vous a plût! On se revois dans vos pires cauchemars.
Disponibilités : Quand je peux! Presque tout le temps! Va dépendre de mon horaire de travail.
Pourquoi avez-vous choisi ce personnage? Il m'impressionne avec son intelligence et de rendre un cauchemar en écriture à celui qui le vie. Je veux atteindre un autre niveau que le monde croit impossible à jouer avec d'autre personne. J'aime impressionner et je ne m'attendais pas à une profondeur aussi belle dans ce personnage. J'espère vous rendre le résultat parfaitement.
Avez-vous lu le règlement et approuvez-vous tous les points?C'est moi qui l'a écrit! J'espère que j'approuve!