Votre Personnage
Nom : Rotrig
Prénom : Norman
Âge : 31 ans
Sexe : ♂
Nationalité : Français
Groupe : Criminel
Alias : Le fils de l'homme
Affiliation : Aucune
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Statut : Célibataire
Profession : Tueur désaxé.
Description physique :
La première chose qui nous marque quand on regarde Norman, c'est son horrible sourire. La peau assez pâle de Norman a été retiré au niveau des muscles de la mâchoire jusqu'aux lèvres. Le simple fait de le voir sourire vous ferez frissonner, vous serez partagé entre un sentiment de dégoût et de peur. Le fils de l'homme a deux grands yeux marrons, qui vous percent l'âme rien qu'en posant son regard sur le votre et une chevelure mi-longue de couleur rougeâtre.
Aucune cicatrice, aucun tatouage, par une seule cicatrice ou encre dans la peau mis à part son sourire d'enfer. En effet, Norman s'efforce de rester comme tel, se considérant comme une oeuvre d'art et plus précisément comme "l'homme qui rit" de Victor Hugo. Une seule coupure en plus, et l'oeuvre d'art qu'il est serait, selon lui, dégradé.
Au niveau de la tenue vestimentaire, il opte pour des tenues assez élégantes, un costard cravate de préférence, la cravate de couleur rouge pour faire sortir ses gants en cuir, rouge et les cheveux du meurtrier , qui sont sous un chapeau melon, tout aussi élégant.
Il cache sur lui ses vêtements, de nombreuses caméras-bombes, gaz, et autre invention de sa part.
Description psychologique :
Norman veut une chose, transformer le monde en une véritable oeuvre d'art. Il est totalement obsédé par l'art à tel point que ses crimes sont portés sur la chose. Il transforme ses victimes en oeuvre d'art, n'ayant aucun remord à leur faire subir les pires sévices possible pour y ressembler le plus possible. Il n'est pas perfectionniste, mais il veut se rapprocher un maximum de cette perfection dans ses oeuvres. En bref, c'est un véritable psychopathe détraqué au même titre que le Joker, il ne se soucie d'absolument rien, d'aucune conséquence de ses actes, il ne vit que pour l'art, qui est pour lui, son obsession. Ses victimes sont clairement prises au hasard et selon son humeur. Bien sur, si vous le provoquez, vous en subirez les conséquences, mais il y a une probabilité de ne pas finir transformé en oeuvre d'art si vous le croisez.
Dans le domaine de l'art, ce qu'il préfère, ce sont les scènes de chaos, de désespoir, de l'humain. Les moments où l'homme se retrouve acculé, repoussé vers son système primitif, quand il s'agit de devoir tuer ou fuir pour survivre ? La survive est un des thèmes les plus abordés par le fils de l'homme.
C'est quelqu'un de très joyeux, moqueur, à l'humour noir. Il ressemble vraiment à un Joker mais plus sensibilisé par l'art. Il est totalement imprévisible, pouvant trahir ses alliés sur un coup de tête, tant que sa rentre dans la logique de l'art.
Histoire :
Tout commença par la mort de ma mère... Elle est morte d'un cancer du sein, le jour où je fêtais mes onze ans. Je l'ai pleuré pendant deux nuits. Mon père n'a jamais cessé de la pleurer, il la considérait comme l'oeuvre d'art parfaite, la femme parfaite. Il ne cessait de peindre des représentations de ma mère, et le jour où elle est morte.... Ce fût un choc encore plus énorme pour mon père. Il disait que le monde venait de perdre la plus belle oeuvre d'art que l'humanité n'ai jamais existé. Ma mère était très belle, certes. Mais, pas au point d'être qualifié d'oeuvre d'art de classe mondiale. Plein d'innocence, je lui dit ce que j'avais sur le coeur concernant ma défunte mère. Lui disant qu'il en faisait trop, que ma mère ne serait pas fière de le voir dans cet état là. Il a éclaté de rire, et m'a attaché à une chaise. Je vois encore ses horribles yeux marrons qui me regardaient lentement pendant qu'il insérait un couteau dans ma bouche, me disant que j'allais être sa prochaine oeuvre d'art : l'homme qui rit.
Il me coupa la lèvre supérieur en deux et m'arracha lentement la peau, en prenant soin de la scier au couteau. Une heure de pure douleur, sans que personne ne vienne à mon secours. Je me disais que j'allais certainement mourir de cette douleur mais... Au final, j'ai survécu, je n'avais plus de lèvres, plus de joues. J'étais devenue l'homme qui rit.
Mais rien ne changea. Mon père me procura les premiers soins pour éviter les saignements et me jura que si jamais je parlais de ça à quelqu'un, il me tuerait. Bien entendu, l'école était terminé pour moi, et je passais mes journées à rester immobile, à attendre que mon père finisse sa représentation en peinture de moi. Je suis resté enfermé comme ça pendant cinq ans, la haine au coeur.
Mais le jour de mes seize ans, j'avais préparé mon propre anniversaire, mon propre cadeau. Grâce à des cours en science de l'ingénieur et des cours sur le corps humain, que j'ai suivi secrètement pendant cinq ans j'ai construit une machine de conservation dans la cave de notre maison... Puis, dés que mon père eut le dos tourné, je le piqua avec une seringue contenant de liquide anesthésiant pour pouvoir opérer sur lui... Je l'ai attaché à une table, je l'ai mis sous morphine pour ne pas qu'il s'évanouisse quand je vais le dépecer, afin qu'il ressente bien la douleur.
J'ai réussi à le dépecer, tout en le conservant en vie, grâce à ma machine conservatrice qui ne se trouvait pas loin de la table d'opération. J'avais réussi, je l'avais transformé en oeuvre d'art. Je passais de nombreuses heures devant cette machine, en le regardant plein d'émerveillement.
-" Tu vois papa. Maintenant, nous sommes tous deux des oeuvres d'art."
Mais c'est à la vie adulte que tout allait ce compliquer... Je voulais rentrer à l'académie des beaux arts à Paris mais... J'ai été refusé. Ils disaient que je manquais de diplôme mais, je voyais sur leur visage leur air hypocrite. C'est ma tête qui leur faisais défaut, le fait que je sois moi même une oeuvre d'art ! Plein de colère, je m'engagea alors sur la voie du crime en transformant la plupart des professeurs de l'école en oeuvre d'art tel que l'homme qui crie, ou alors, la fois où je reproduis en pleine cour de l'académie, le tableau de Otto Dix, La Guerre.
Ensuite, je me suis fait quelques alliés comme l'Id, Soeur cristal, Parle-à-Ma-Peau ou Man Ray qui m'ont servi à attirer l'attention de Batman, Robin venus des Etats-Unis d'Amérique, et Nightrunner, pendant que moi, je faisais une nouvelle oeuvre d'art : La libération du Jardin Noir, où tous les plus grands criminels se sont échappés, semant le chaos sur leur passage. Tout a été filmé et envoyé à Papa, pour lui montrer mes progrès dans le domaine de l'art. Mais malheureusement, ces foutus justiciers m'ont arrêté et envoyé au Jardin Noir. Mais là bas, j'ai été accueilli en héros ! J'ai ramassé de nombreux criminels avec moi et nous nous sommes échappés de l'Asile. Je voulais maintenant transformer Batman et Robin en oeuvre d'art ! Comme toutes mes victimes ! Je veux voir le désespoir dans leurs yeux quand je leur couperai la peau ! Et c'est pour ça que nous avons embarqué pour Gotham city, ma nouvelle inspiration.
Famille : Un père, dont le nom est inconnu qu'il a mutilé mais garde encore en vie, sous forme d'oeuvre d'art.
Alliés : L'Id, Soeur cristal, Parle-à-Ma-Peau, Man Ray.
Ennemis : Batman Inc.
Compétences :
- Compétences chirurgicales (vu qu'il a dépecé son père sans le tuer)
- Connaissances en Physique et Chimie.
- Agilité
Hors Jeu
Présentation : Ancien Joker
Disponibilités : Pendant les vacances, c'est assez imprévisible, mais logiquement c'est là où j'ai le plus de temps contrairement en période scolaire, où je n'ai que le week end et encore ?
Pourquoi avez-vous choisi ce personnage?
Il ressemble au Joker.
Avez-vous lu le règlement et approuvez-vous tous les points? Oui.