RPG +16 ans |
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| Travail de recherche | |
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Moses Fischer/Tatters
| Sujet: Travail de recherche Mer 12 Sep - 9:39 | |
| Tatters avait enfilé son autre costume aujourd'hui, celui de Moses Fischer. En fait ce n'était pas un costume, mais plutôt son linge civil. À son allure on n’aurait jamais pensé qu'il venait d'une riche famille juive spécialisée dans les pharmaceutiques. Habillé avec un gilet grand manche rayé bleu et blanc un peu trop grand pour lui et un bon vieux jean bleu légèrement délavé. Depuis que Rory Reagan l'avait pris sous son aile avec l'accord de ses parents, il avait lui-même choisi de s'habiller dans le linge fourni par les gens dans le commerce Rag's N Tatters. Il portait sur ses yeux de belles lunettes avec une armature noire parfaitement ajustée, cadeau de sa richissime famille. Il n'aimait pas beaucoup se pavané avec des articles plus de "luxe" mais il n'avait pas trouvé paire de lunettes plus confortable et ajustée. Il avait un peu renié tout le concept de tout facilement et essayait de trouver la voix dans la simplicité des gens, comme Rory le faisait. Il fallait dire que ça fonctionnait assez bien et qu'il appréciait cette nouvelle facette du monde. Il eut un rictus lorsqu'il pensait à son costume et de la façon que tout le monde le jugeait. Si tout le monde savait qu'il était en réalité l'héritier de la fortune Fischer qui approvisionne de presque tous les médicaments possibles les bonnes gens de cette ville, ils en feraient une attaque.
Il s’était présenté aux archives de la bibliothèque de l'université. Pour y être allé plusieurs fois elles étaient extrêmement complètes et grâce aux nouvelles lois d'accès à l'information signé par le congrès, les archives de l'université étaient extrêmement complètes. Rory n'étudiait pas vraiment à l'université de Gotham. En fait, il avait choisi un seul cours, et le suivait de manière décousue. C'était un cours d'économie qui ne lui plaisait guère, mais ça lui permettait d'avoir accès à tous les avantages de l'université. Il apprenait beaucoup plus à la boutique au côté de son mentor. Il apprenait la vie, le service à la clientèle, les bases de l'entrepreneuriat, même de l'économie, mais il apprenait surtout à suivre les pas d'un justicier surprenant, les pas de Ragman.
Bonjour Mme. Beverly
Bonjour Moses je vois que tu as une grosse chemise sous le bras, encore un projet d'économie?
Mme Beverly était l'archiviste de la bibliothèque. Peu de jeunes venaient de manière régulière dans les archives de l'école, ce qui faisait que Moses et Mme Beverly se voyaient souvent. C'était une belle dame pour ses 60 ans. Tatters se disait que s'il avait eu la chance de connaitre sa grand-mère elle devait être comme ça. Elle savait que Tatters avait plusieurs projets personnels dont elle ne lui parlait jamais. Elle disait toujours la même chose, "C'est pour un projet d'économie?" et elle l'aidait à rassembler des choses sur tout les sujets divers qui n'avait rien avoir avec l'économie. Dans sa tête probablement, qu'elle pensait que Moses Fischers au final avait soif de culture.
Oui comme toujours Mme Beverly. En fait je voudrais, des informations sur des composantes chimiques. J'ai euh... j'ai choisi de faire des recherches sur l'entreprise de mon père.
Donc on cherche des archives sures?
Bin en fait j'ai quelque composante chimique notée j'aimerais savoir qu'elle pourrait être la résultante de leur fusion et je voudrais savoir qui à fait des recherches par le passé la dessus.
Section C : Recherche empirique sur la chimie à Gotham.
Merci Mme Beverly.
Pas de problème Moses, je te prépare une table de travail?
Oui s'il vous plait.
Moses était toujours très surpris de l'exactitude et la variété des archives de Gotham. Nulle part ailleurs on ne pouvait trouver aussi détaillé. Pendant que Moses entra dans la section C. Mme Beverly fit la réservation au nom de Fischers pour une table de travail. Une lumière s'alluma signifiant que la table était prise. Évidemment il y avait plusieurs chaises et il pourrait s'asseoir d'autres étudiants s'il s'agissait d'un travail d'équipe, se que Mme Beverly doutait. Il n'y avait que très peu d'étudiant dans les archives aujourd'hui ce qui facilitait le travail pour tout le monde. Moses ressortit avec trois dossiers dans les mains. Il les déposa en remerciant Mme Beverly d'un signe de tête. Il sortit également les dossiers qu'il avait pris chez Narcosis et commencèrent ses recherches, il devait décrypter ce qui se trouvait derrière ses feuilles blanches.
Dernière édition par Moses Fischer/Tatters le Mer 26 Sep - 12:30, édité 1 fois | |
| | | Eve Feynman
Localisation dans Gotham : Dans la rue
| Sujet: Re: Travail de recherche Mer 19 Sep - 14:18 | |
| Dans les rues de Gotham, il y avait peu d’endroit où elle se sentait en sécurité. Même si elle pouvait largement se défendre, son instinct lui dictait de ne pas se frotter aux mauvaises personnes, évitant les ruelles trop à l’écart, évitant de se mettre tout simplement et stupidement en danger. Mais aujourd’hui, elle avait autre chose en tête, autre chose que l’envie de se nourrir ou de dormir, pour ça, elle avait fini par trouver mais ce qu’elle voulait savoir, c’est qui…Elle était…Ce qu’elle était réellement. Les paroles d’une demoiselle lui restait en mémoire, était-elle réellement un monstre ? C’était ce nom commun qu’avait utilisé Kitty en la désignant, c’était aussi celui-ci que sa mère avait utilisé à maintes reprises dans les disputes qu’elle avait avec son père avant de disparaitre dans la nature en les abandonnant. Suivant une logique implacable, elle se rendait dans l’unique endroit où elle pourrait, peut-être, trouver des réponses : L’université de Gotham, et plus précisément, sa bibliothèque. Il ne restait plus qu’à trouver le moyen d’entrer. Elle aurait pu prendre sa véritable forme, celle d’une adolescente de 17 ans, cela lui aurait permis de se fondre un peu plus dans la masse mais Eve préférait et tenait tout simplement à l’apparence de petite fille qu’elle gardait à chaque instant. Elle jouerait là-dessus se disait-elle. Même si le mensonge n’était pas la spécialité de la demoiselle, après tout, les machines ne mentent pas il parait. Mais était-elle réellement une machine ? Elle se faufilait, dans les couloirs et les méandres des lieux, essayant de ne pas attirer l’attention en se cachant tout simplement. Mais il fallait croire que la bibliothèque aujourd’hui ne semblait pas être le lieu de prédilection des étudiants de Gotham.
Et pourtant…N’y avait-il pas plus bel endroit pour s’instruire ? Devant l’entrée de celle-ci, elle poussa doucement la porte pour ne pas attirer l’attention, observant alors l’accueil des lieux…Vide…Elle profita de ce moment, ce bref instant où le destin semblait être en sa faveur. Mme Beverly c’était absenté, préparant une table plus loin, si bien que l’enfant se faufila simplement dans la bibliothèque, se cachant à présent dans les multiples couloirs des lieux. Elle chercherait, toute la nuit si i il le fallait, mais elle finirait par trouver ce qu’elle était venu chercher. C’est ainsi que la demoiselle parcourait un à un les couloirs, les meubles, les livres, cherchant ce pourquoi elle était venue ici. C’était long, fastidieux, elle devait à la fois se concentrer sur les livres, à sa recherche et faire attention à ce qu’elle ne soit pas remarquée, ni même vue. Elle parcourait les étalages de livre, observant chacun de ceux-ci, chaque titre, et plus le temps passait au milieu de ses ouvrages et plus l’envie d’en prendre un, au hasard et de le lire la prenait. Mais elle cherchait, elle cherchait quelque chose de bien précis, elle voulait savoir qui elle était…Et pour ça, elle savait vers quel auteur elle devait se diriger : son père.
C’est en se dirigeant vers une nouvelle allée qu’elle se retrouva nez à nez avec un homme, à pull rayé bleu et blanche, elle l’observa, le fixa un instant avant de simplement prendre la fuite. Se mettant à courir dans les allées, essayant simplement de lui échapper. La bibliothèque était assez grande et vaste pour pouvoir espérer que cela fonctionnerait et le hasard faisait bien les choses car, lorsqu’elle arrêta sa folle course, c’était pour se retrouver dans l’allée consacrée aux nouvelles technologie, à la robotique plus précisément, bon nombre d’ouvrage relatait un travail sur la robotique d’ailleurs mais ce qu’elle cherchait n’était pas de la robotique mais de la nanorobotique…C’était une toute autre affaire, tout autre chose, et ses yeux se posèrent sur un nom…Son nom : Feynman. Elle tendit la main, essayant d’attraper le bouquin mais en vint…Elle essayant en se positionnant sur la pointe des pieds mais ce ne fut pas plus fructueux. Cherchant à droite, puis à gauche, aucun escabot n’était présent pour pouvoir l’aider, aucune échelle, relevant la tête pour fixer la reliure du bouquin, elle tendit à nouveau le bras, celui-ci s’allongea alors, doucement…Lentement. Les doigts de sa main se fusionnaient, un à un, formant dans un premier temps une pointe qui se courba alors lentement pour prendre la forme d’un crochet, et lorsqu’enfin elle atteignit le livre, elle posa le bout de son crochet sur le haut de sa couverture, tirant, lentement…Le bouquin se pencha vers l’extérieur de la bibliothèque, avant de simplement chuter dans un « pouf » sonore. Elle sursauta, en entendant le bruit, maudissant son idée stupide de l’attraper ainsi.
Elle attrapa son bouquin de sa main "valide" alors que la seconde reprenait lentement forme humaine.
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| | | Stephanie Brown/Spoiler
Localisation dans Gotham : Là où il y a de l'espoir
| Sujet: Re: Travail de recherche Mer 19 Sep - 21:16 | |
| La journée de Stephanie avait commencé tôt aujourd’hui, alors qu’elle s’était levée à sept heure du matin pour manger seulement de quoi tenir jusqu’à midi, et s’était rendue à la bibliothèque de son université. Elle avait déjà deux livres dans son sac, mais ce n’était pas vraiment les livres qui l’intéressaient à la bibliothèque : C’était plutôt le silence qu’elle recherchait. À la maison, sa mère était dans une mauvaise passe et elle écoutait des téléromans à l’eau de rose, le volume dans le plafond. Et comme sa chambre se trouvait au deuxième, le plafond était à ses pieds. Elle pouvait entendre les trames sonores de tous ces téléromans jusque dans les rues de Gotham. Stephanie était une bonne fille, en général. Elle n’avait pas beaucoup de respect pour sa mère – elle n’a jamais été d’accord avec ses choix de vie -, mais elle l’aimait tout de même bien. Elle aurait pu peut-être la soutenir alors qu’elle était dans une mauvaise passe de la dépression qu’elle tentait de combattre depuis des années, mais Steph avait déjà vu sa mère dans de bien pires états et elle s’en était toujours remise.
Lorsqu’elle avait du temps libre comme celui-ci, elle étudiait souvent pour être en avance dans ses cours, et pour être toujours à jour. La vie de justicière occupait beaucoup de ses soirées, et elle devait trouver le temps d’étudier à autre port que durant le silence de la nuit. Ce silence qui était bien absent à la maison. La jeune adulte avait prise l’autobus de la ville pour se rendre à la bibliothèque, espérant y trouver le silence qui avait quitté la banlieue. En entrant dans l’établissement, elle constata que ses veux étaient réalisés, car la bibliothèque de l’université était plus que silencieuse. Un silence presque bruyant. L’heure matinale rendait les tables d’études vides et seulement quelques personnes fouillaient les allées de livres. Il n’y avait également personne aux ordinateurs datant du millénaire dernier. Ce n’est pas comme si il y avait bien des gens de toutes manières à ces ordinateurs. Ceux qui désiraient avoir accès à un accès Internet allait plutôt dans une autre salle avec des ordinateurs à jour. Et ça, c’est sans compter le Wifi qui emplissait de ses ondes l’université en entier.
La justicière habillée en civil s’installa à une table après s’être présenté au comptoir. Elle portait un haut rouge vin qui comportait des trous sur le dessus de ses manches courtes pour laisser apparaître sa peau. Aux intersections de ces découpes, au nombre de deux de chaque côté de son cou, était glissé une bille de bois. Il y avait donc quatre billes, à cause des intersections créées par le trou où l’on passe son coup. Elle était vêtue également de jeans foncés et d’espadrille qui rappelait le style converse. Ses cheveux blonds étaient attachés en queue de cheval qu’elle s’était coiffé rapidement ce matin.
Alors que son accoutrement était décrit, il était déjà passé onze heure de l’avant-midi. Elle était allée chercher un autre livre un peu plus tôt dans les allées qui traitait des recherches d’un scientifique de biologie sur certains comportements inhabituels observés sur des organismes unicellulaire. Mais il faisait maintenant un moment qu’elle ne s’était pas dégourdie les jambes, et elle commençait à en avoir marre de ses lectures. Stephanie se promenait donc tranquillement entre les rangées de livres qui étaient à sa disposition. Alors qu’elle changeait d’allée, elle aperçu une jeune fille qui s’éclipsa rapidement de son champs de vision, comme si elle jouait à cache-cache avec le monde entier. Eh bien! Probablement une étudiante de l’Université qui avait une enfant dont elle n’avait réussit à trouver une gardienne pour s’occuper d’elle.
Alors qu’elle trouva un livre qui semblait intéressant sur l’histoire de Gotham (Intitulé L’Histoire de Gotham : À bas les masques), la jeune femme décida d’aller le lire tranquillement à sa table pour relaxer et se détacher de ses études une heure ou deux. Les tables étaient maintenant un peu plus occupés qu’à son arrivé. Elle fit un tour par les archives, pour prendre encore plus son temps et vu une table occupée qui attira son attention. Un jeune homme était assis devant des papiers éparpillés qui semblait parler d’un sujet bien poussé. Mais ce n’est pas ce qui capta son attention, ce fut surtout son âge : Il semblait avoir quinze ou seize ans. Ces jeunes à cet âge trainait rarement dans les bibliothèques, préférant s’abreuver de Wikipédia pour prendre toutes informations nécessaires à leurs études. Elle sourit en pensant que cette génération avait peut-être un avenir à autre port que devant un écran d’ordinateur. Son sourire s’efface légèrement lorsqu’elle se souvint qu’elle faisait également partie de cette génération dite Y.
Stephanie fit appel à ses aptitudes de justicières pour s’approcher silencieusement de ce jeune assez mal habillé pour voir par-dessus son épaule ce qu’il pouvait bien ne pas avoir trouvé sur la toile. Elle dut être un peu rouillé, car le jeune homme ne se laissa pas approcher par derrière sans jeter un coup d’œil à celle qui souhaitant le prendre en tenaille. Elle fut surprise par ces sens aiguisés, mais décida de faire comme si de rien n’était.
« Salut! Désolé, il est rare de voir des jeunes de ton âge dans les environs. Qu’est-ce que tu lis? »
Pour répondre elle-même à la question, elle s’étira le coup pour bien voir ce qui était étendu sur la table d’étude. Il y avait là des composants chimiques et des recherches de chimie que Stephanie ne put réussir à déchiffrer en entier. Elle ne savait pas en quoi le garçon étudiait, mais cela semblait être tout de même très poussé pour quelqu’un de son âge. Même elle y était perdue!
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| | | Moses Fischer/Tatters
| Sujet: Re: Travail de recherche Mer 19 Sep - 22:43 | |
| Tatters leva les yeux de ses papiers, histoire de reposer un peu son cerveau. Il se passa la main dans le visage et poussa, un petit soupire. Ce n’était pas une mince affaire ces formules et en plus d'après se qu'il avait compris elles étaient de toute évidence codées. Ça dépassait largement ses compétences en la matière. Certes il aurait pu apporter tout cela au bureau de son père et demandé à un des biochimistes qui travaillait pour l'entreprise Fischers de l'aidé, mais il ne savait pas se qu'il allait trouvé et mieux valait ne pas impliquer sa famille. Surtout s'il s'agissait de quelques choses d'illégale (se qui était forcément le cas vu que ça venait du bureau de Narcosis) son père s'imaginerait que c'est Rory ou un autre "pauvre" qui était à l'origine. Il releva la tête pour voir s'il pouvait apercevoir la petite fille qu'il avait vue au tournant d'une rangée. Elle avait pris peur quand il s’était rencontré et était parti à tout vent dans les rangées. Il se demandait si elle était toujours dans les parages. Il n'avait pas cru bon courir après elle, après tout ce n'était qu'une enfant et elle était dans un endroit plutôt sécuritaire. Tatters se dit que c'était probablement une enfant d'un professeur ou d'une étudiante qui était perdue. Évidemment, il se demandait pourquoi elle avait eu peur. D'ailleurs à bien y penser il devrait peut-être aller voir. Que faisait-elle ici? Il avait peut-être sauté aux conclusions trop vite et elle s’était perdue et elle était apeurée... Il mit les mains sur le bureau pour se lever, mais une femme entra par la porte. Voilà la mère probablement se dit, Tatters en faisant un raccourci rapide. Normalement il n’était pas du genre à faire ce genre de généralisation facile, mais probablement que c'était la fatigue du combat de cette semaine ou encore la fatigue d'étudier de longue colonne de formule chimique semi-codée. L'explication lui suffit et il se remit à griffonner des possibilités sur une feuille. Il épluchait quelque rapport empirique de biochimie à la recherche d'un indice qui l'aiderait à décoder la composition des toxines qui pourrait peut-être l'amener à une source ou à une conséquence. Évidemment ça aurait été plus facile d'avoir accès à un énorme laboratoire comme Batman, mais bon quand on était le protégé d'un super héros en redingote on devait faire avec se qu'on avait. Il épluchait toute sorte de dossiers. Mais il avait espoir de trouver quelques réponses dans des anciennes recherches faites par un certain Jonathan Crane. Après tout, l'effet auquel Catgirl avait été soumis ressemblait beaucoup à ce que l'épouvantail faisait, il devait sûrement avoir une correspondance. Moses sentit une présence derrière lui. Il se retourna. C'était la femme qui était entrée tout à l'heure dans la bibliothèque. Elle était plutôt jolie, mais quelque chose l'agaçait un peu. Il ne savait pas s'il rêvait, mais il se demandait si elle n'avait pas essayé de l'approcher furtivement. Toujours aucun signe de l'enfant auprès d'elle. Que voulait-elle? - Citation :
- « Salut! Désolé, il est rare de voir des jeunes de ton âge dans les environs. Qu’est-ce que tu lis? »
Bon elle ça la joue, femme d'expérience. Ils avaient quoi? Maximum 4 à 5 ans de différence ! Ces jeunes adultes ils se voyaient si "vieux". Moses décida de se passer de remarque en se disant qu'après tout ce n’était sûrement pas dans le but de le froisser. Après tout , elle l'abordait gentiment et de manière très candide. Il poussa machinalement le dossier qui portait le nom de Jonathan Crane en dessous de ses colonnes de chiffre. Il se sentit un peu stupide, après tout il ne faisait rien de mal, c'était des dossiers accessibles au public. Après tout, Jonathan Crane avant de devenir Scarecrow avait été un grand scientifique et il avait fait avancer la science dans le domaine de l'émotion. Il se rendit compte qu'il regardait un peu bêtement la femme sans avoir répondu. Puis il se dit que vraiment... elle était très jolie. Euh... Un peu de recherche sur de la biochimie... je fais un cours d'économie et j'ai décidé de prendre la compagnie pharmaceutique Fischers pour industrie d'étude. En fait, j'essaie de comprendre certains trucs sur la compagnie. Comme dit le professeur Jones, pour bien comprend un sujet, il faut bien comprendre se qu'il fait. Alors je m'imprègne de ce qu'ils font !Il finit sa phrase avec un grand sourire se rendant bien compte que son explication était peu convaincante. Il entendit un bruit dans les rangées comme un livre tombé. Il bougea sa tête d'environ 15 degrés. De cette façon il pouvait voir Stephanie et son oreille était mieux positionnée pour entendre tout autre mouvement. S'il y avait quelque chose, il serait prêt à agir. Dans une ville comme Gotham, on devait toujours se tenir prêt. | |
| | | Stephanie Brown/Spoiler
Localisation dans Gotham : Là où il y a de l'espoir
| Sujet: Re: Travail de recherche Mer 3 Oct - 10:06 | |
| Le jeune homme aux cheveux bruns la regardait d’un air semi-absent. Il semblait avoir lieu dans son crâne un véritable cocus sur l’interprétation de la situation et comment y réagir. Cela ne dura peut-être qu’une seconde, mais on aurait dit que l’étudiant pesait les pours et les contres d’une réponse plutôt qu’une autre. Il la regarde un peu bêtement, et Stephanie se sentit un peu mal à l’aise. Ses jours rougirent légèrement avant de reprendre une teinte normale lorsque la personne assise devant elle poussa quelques papiers sous les autres. Son instinct de détective trouva cela bizarre : Vouloir cacher ce qu’on a sous les yeux démontre une certaine honte à y avoir regardé. Elle n’avait pas remarqué que ce papier était différent des autres, toujours un texte remplis de formule chimique des plus complexes. Le garçon décida finalement de répondre à sa question.
« Euh... Un peu de recherche sur de la biochimie... je fais un cours d'économie et j'ai décidé de prendre la compagnie pharmaceutique Fischers pour industrie d'étude. En fait, j'essaie de comprendre certains trucs sur la compagnie. Comme dit le professeur Jones, pour bien comprend un sujet, il faut bien comprendre se qu'il fait. Alors je m'imprègne de ce qu'ils font !
-Ah, répondit Stephanie d’une faible voix, surtout par réflexe de fournir une réponse. »
Son attention était toujours portée sur les feuilles de papier, mais aperçu le grand sourire qui se dessina sur les lèvres de ce visage peu convaincu lui-même de sa réponse. Elle ressentit elle aussi le sentiment que ce qu’il racontait n’était qu’une demi-vérité qu’il avait fait couler à un débit trop élevé et qu’une marée de phrases de trop sans queue ni tête avaient sortir de sa bouche. La jeune femme n’en fit pas un plat, laissant le bénéfice du doute à son interlocuteur. Un silence plana rapidement dans la pièce créée par les rangées de livres lorsque parvint un son d’une de celles-ci. Son nouvel ami tourna légèrement la tête d’un réflexe calculé, en regardant maintenant un point qui se trouvait entre elle et la source du bruit. Elle-même releva la tête pour voir d’où venait le bruit, et ce qui l’avait causé. Un simple livre avait dut tomber par terre. Il y un quelques bruits de pas feutrés puis il y eu le retour du silence.
Les deux étudiants étaient sur le qui-vive. Il semblait que le bruit aurait pu mettre leur vie en danger. Elle avait même, inconsciemment, portée sa main à sa ceinture pour saisir un boomerang ou bien une bombe fumigène sur une ceinture à gadgets absente. Lorsqu’elle lui sembla qu’une éternité s’était déroulée dans le temps, elle se détendit et sa main glissa le long de sa cuisse. Elle porta son regard vers le garçon devant elle et décida de se présenter :
« Moi, c’est Stephanie. Je peux peut-être t’aider dans tes recherches, je suis en microbiologie. Les formules, je connais probablement plus cela qu’un étudiant en économie. »
Elle reporta son regard rapidement vers la source du feu bruit, puis revint à leur conversation. Elle était intriguée par tout ce mystère autour de ce garçon à lunette. Elle avait envi de comprendre un peu plus ce que le nom de Jonathan Crane avait à faire avec une compagnie de pharmaceutique. Et, oui! Elle l’avait vu.
Dernière édition par Stephanie Brown/Spoiler le Mar 9 Oct - 12:56, édité 1 fois | |
| | | Moses Fischer/Tatters
| Sujet: Re: Travail de recherche Mer 3 Oct - 15:38 | |
| Le bruit ne donna aucun autre signe de "vie". Moses choisi lui aussi d'ignorer se qu'il venait d'entendre. Probablement simplement un livre qui était tombé ou la jeune fille qui avait accroché quelque chose. Après tout ils étaient en plein jour dans un des lieux les plus calmes de toute la ville. S'inquiéter pour le moindre petit son commençait à relevé de la paranoïa plus que d'une saine sécurité. Il repris ses aises et retourna à la belle blonde qui était venu lui parler.
Tatters poussa machinalement la chaise devant lui avec son pied. Il avait choisi d'impliquer Stéphanie. Après tout il n'avait rien à perdre et bon une étudiante en biochimie pourrait l'aider. De plus probablement qu'elle ne fasse pas du tout le lien entre les recherches de Moses et quoi que ce soit après même lui n'était pas certain de l'utilité de ses papiers.
Moi c'est Moses, et oui je suis un peu perdu dans les formules, je suis un fiscaliste pas un chimiste.
Il fit un sourire sincère. Après tout il allait collaborer avec une civile dans un domaine qu'il ne connaissait absolument pas. Il n'était pas néophyte, Ragman lui ayant appris certaines bases. Il avait caché volontairement son nom de famille. Il était dur à porter à Gotham, il était synonyme de prestige et de richesse. Deux choses que Moses Fischers fuyait comme la peste. Tatters aimait bien par contre, mais pas par l'héritage, mais bien par le mérite.
En fait, j'ai trouvé une formule chimique sur internet et j'aimerais la décoder, juste pour le plaisir et pour mieux comprendre mon sujet d'étude. Je trouve cela plus amusant que de lire des livres sans soifs et j'apprends mieux en le faisant quand me le dictant. Le seul problème c'est que ma formule semble codée, avoir su j'en aurais pris une autre, mais maintenant que j'ai commencé je peux plus m'arrêter.
Il eu un petit rictus effectivement ça l'amusait beaucoup cette histoire et bon en plus ça avait attiré une jolie fille à sa table alors autant emprofitée.
J'ai réussi à en décodé une partit en me référent à certaine notre trouvé par Mme Beverly dans les archives, mais globalement c'est du charabia. Tout se que je sais c'est que. Les C sur X semblent semblables aux recherches de ce PH.d Jonathan.
Il jouait un peu au niais. Mettre la faute sur Mme Beverly pour le fait qu'il se retrouve avec les recherches de Scarecrow était astucieux après tout ce n'était pas interdit et c'était la personne ressource quand on à besoin d'aide. De plus il faisait semblant d'ignorer qui était Jonathan Crane, certes les justiciers le connaissaient, mais ce n'était pas tous les étudiants qui savait le vrai nom de Scarecrow, encore moins les fiscalistes/économistes. Il espérait donc que Stephanie l'aide avec la formule Narcosis sans qu'elle se doute de ce qu'elle faisait. Après tout, lui non plus n'avait aucune idée que derrière cette jolie dame, prête à l'aider se cachait une justicière fils d'un dangereux criminel. | |
| | | Stephanie Brown/Spoiler
Localisation dans Gotham : Là où il y a de l'espoir
| Sujet: Re: Travail de recherche Mar 9 Oct - 13:53 | |
| La chaise devant Stephanie recula brusquement de la table de travail poussée par l’étudiant pour lui faire signe de s’assoir avec lui. L’invitation était sincère, mais elle trouva que l’enveloppe du message laissait à désirer. Le geste était nonchalant et semblait d’avantage de circonstance lorsque l’on se trouve avec un bon ami. La chaise s’était très légèrement embourbée dans les fleurs du tapis, et Stephanie se dit que ce sentiment aurait put être renforcé si la chaise était tombée avant de pouvoir offrir un siège confortable. Alors qu’elle s’asseyait sur la chaise offerte, elle se dit que ce n’était rien et écouta les présentations de ce dénommé Moses – prénom qu’elle n’avait jamais entendu auparavant – et répondit au sourire que lui avait adressé son partenaire. Il était certain qu’un étudiant en économie ne pouvait faire grand-chose avec une formule de chimie.
L’étudiante écouta l’explication de Moses sur la raison qu’il se trouvait avec une formule chimique dans les mains. Une formule codée allait être difficile à décrypter, surtout que la formule elle-même, même décodée, semblait assez complexe. Bon, après tout, une formule codée rappelle ces exercices qu’elle faisait au collège où l’élément n’importait aucunement dans la résolution de la formule, c’était seulement de mettre en pratique la matière apprise dans une situation hypothétique. L’acide A, un soluté B et puis un gaz C. Il fallait maintenant savoir ce que A valait dans la vrai vie.
« J'ai réussi à en décodé une partie en me référent à certaine note trouvée par Mme Beverly dans les archives, mais globalement c'est du charabia. Tout se que je sais, c'est que les C sur X semblent semblables aux recherches de ce PH.d Jonathan. »
Ouais, un PH.d. Si cette formule avait une ressemblance avec les travaux de Scarecrow, elle devait être assez poussée dans la matière. Au moins, ses recherches allaient pouvoir offrir un point de départ. Stephanie se demanda si Moses savait qui Jonathan Crane était réellement. C’était le genre de détails qui était assez répandus dans le domaine d’étude de Steph, et par d’autres personnes également qui s’attardait ne serait-ce que légèrement sur l’actualité de la ville de Gotham. Elle croyait même avoir vu un article dans le journal sur le sujet.
Alors qu’elle tira les feuilles et manuels de l’étudiant vers elle dans un angle plus lisible, elle lui posa la question :
« Tu savais que Jonathan Crane c’est le mec qui s’habille en épouvantail, Scarecrow? »
Elle avait amené le sujet pour discuter. C’était le genre de détail qu’elle jugeait pertinent à savoir, même pour un citoyen moyen. Elle ne voulait pas non plus se faire fixer du regard alors qu’elle tentait de comprendre la formule codée sous ses yeux. Cela la rendait mal à l’aise qu’on la fixe lorsqu’elle travaillait. Elle s’attarda d’avantage sur son travail du moment.
De ce qu’elle pouvait en comprendre pour l’instant c’était que, en effet, le travail ressemblait à celui de Crane. Le résultat de la réaction chimique semblait être un gaz très volatile, selon sa composition chimique. Il n’y avait presque pas de liquide restant suite au mélange des produits. Après de nombreuses notes et l’utilisation des recherches de Crane et d’autres chimiste comme référence, Stephanie réussit à obtenir ceci : Le mélange d’un gaz hautement acide à cause de sa concentration en hydrogène et de deux composés sous l’état liquide donnait un gaz assez instable, rendu plus ou moins neutre à cause de la nature basique des produits liquides. Le résultat semblait être un gaz très semblable à ceux que Jonathan Crane avait découvert pour influencer le cerveau. Pire encore, de ce que Stephanie comprenait, ce gaz aurait très bien pu être utilisé par l’épouvantail lui-même. Même si elle n’avait pas tout compris encore de la formule codée que son nouvel ami avait trouvé sur Internet, selon ses dires, la justicière commençait à avoir quelques soupçons sur son ami. On ne trouve pas sur Internet, par hasard, une formule chimique codée qui pourrait être utilisé pour manipuler les gens.
Stephanie tenta de rester calme. Il n’y avait pas assez de preuves pour commencer à écrire des scénarios dans son esprit. Elle allait tout de même rester sur ses gardes. Elle tendit le papier sur lequel elle griffonnait vers Moses.
« Sommairement, voilà ce que j’ai pu trouver. Un gaz acide et deux liquides à base de fluor et d’un autre composé chimique que je n’ai pas encore décodé qui laisse échapper un nouveau gaz qui semble très volatile. Tu vois, dans mes notes, comment j’en suis arrivée là, dit elle en indiquant de son crayon ce dont elle parlait au fur et à mesure de ses explications. Tu devrais peut-être te trouver une autre formule moins complexe si tu veux avoir une chance de comprendre comment fonctionne la chimie. »
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| | | Moses Fischer/Tatters
| Sujet: Re: Travail de recherche Mer 10 Oct - 14:26 | |
| - Citation :
- Tu savais que Jonathan Crane c’est le mec qui s’habille en épouvantail, Scarecrow?
Tatters sourit un peu lorsque Stephanie lui parla de l'épouvantail. Il connaissait tout les arguments et savait que c'était du domaine connu que Crane était à Arkham. Mais s'il y avait à Gotham une partie de la population prête à croire au Batman et ses acolytes étaient réels, une autre partie de la population, elle, voyait des légendes urbaines dans le fait qu'un homme en costume de chauve-souris cherche à les sauver. Ainsi, tout ce qui entourait Batman et ses vilains étaient vus comme des histoires pour faire peur aux enfants. C'était la stratégie adoptée par Moses, en ce qui concernait son identité secrète. À oui, les héros et leur "super" criminel. Tu sais que le tourisme dans les villes qui ont des "superhéros" augmente en général de 30%? Ce qui apporte des revenus substantiels pour la ville et les commerçants des alentours. Pour être honnête avec toi, je crois que cette histoire d'épouvantail et de Batman Est une opération marketing de la ville. De toute façon, si la ville avait vraiment un super héros pourquoi est-ce qu'il y a autant de monde qui ne l'a jamais vue. Apparemment on foisonne littéralement de super héros, pratiquement un par quartier, et ça sans comté les criminels qui ne sont qu'au final un marketing d'Arkham et de Blackgates pour se faire débloquer des subventions par la chambre des représentants. Je vois déjà le brainstorming des gens, qu'est-ce qu'on a à Gotham? Un énorme taux de criminalité, alors on fait quoi? Pourquoi pas notre Superman local? Une chauve-souris... idée ridicule.
Batman, c'est une invention et ses disciples aussi... en tout cas pour moi c'est clair. Ils nous filment des mises en scène et des faux articles parce que sans ça nous serions simplement, une ville rongée par le crime qui produit une quantité anormale de fous. C'est sur que si on arrêta d'en faire la promotion pour les subventions en leur inventant des costumes et des conneries de ce genre on aurait moins l'air d'une ville de cinglé. Honnêtement, je ne crois pas à ces histoires Jonathan Crane est effectivement un fou qui est à Arkham mais l'épouvantail c'est un comédien qu'on a inventé en utilisant la folie d'un homme qui n'a rien demander. En plus, il fait esthétiquement peur... Super plan ... pfff...Il savait ses paroles très dures, mais il la jouait économiste calculateur et très sceptique. C'était la meilleure façon de ne pas semer de soupçons. C'était de défaire point par point l'existence même de ce qu'il était. Certes c'était peu élogieux de voir les héros de Gotham comme d'énorme panneau publicitaire touristique, mais le fait qu'ils préfèrent tous la nuit et la discrétion aidait énormément. Avec un héros comme Flash ou Superman qui se promène tout les jours dans les rues de leurs villes, ça devenait incontestable, mais il fournissait des statistiques réelles sur lequel Moses s'appuyait. Son long monologue avait laissé le temps à Stéphanie, de finir de regarder les formules. - Citation :
- « Sommairement, voilà ce que j’ai pu trouver. Un gaz acide et deux liquides à base de fluor et d’un autre composé chimique que je n’ai pas encore décodé qui laisse échapper un nouveau gaz qui semble très volatile. Tu vois, dans mes notes, comment j’en suis arrivé là, dit-elle en indiquant de son crayon ce dont elle parlait au fur et à mesure de ses explications. Tu devrais peut-être te trouver une autre formule moins complexe si tu veux avoir une chance de comprendre comment fonctionne la chimie. »
Il ne releva pas la dernière partie de ce qu'avait dit Stéphanie. Il se contenta de se rapprocher, car il avait un réel intérêt pour les formules et l'expertise de Stéphanie lui faciliterait sans aucun doute la tâche. De plus se rapprocher d'elle n'était pas ennuyant, elle avait un de ses parfums, qui vous pénétrait les os. humm à base de fluor tu dis, le truc qu'il y a dans le dentifrice?... Et euhm... ce gaz sa finalité tu as une idée de se que peut provoquer cette formule? Le gaz volatile devrait provoquer quoi exactement et je regarde ton cheminement et n'est t'il pas possible de le conserver liquide, comme pour l'injecter? Parce que sur la page web il y avait des indices et l'un d'eu était justement une seringue...Il espérait qu'elle ne pose pas trop de questions parce qu'il se doutait bien que ses nouvelles questions soulèveraient des interrogations, mais il ne l'avait pas obliger à l'aider c'est elle qui c'était offert. Et en plus ce n'était pas une police, mais une étudiante comme les autres. Pour l'instant son questionnement démarquait une belle curiosité, mais si elle s'efforçait à vouloir en savoir plus il devrait couper court à l'expertise. Il n'avait pas envie de lui dire ce sur quoi il travaillait et de toute façon elle n'y comprendrait rien, après tout ce n'était pas une justicière. | |
| | | Stephanie Brown/Spoiler
Localisation dans Gotham : Là où il y a de l'espoir
| Sujet: Re: Travail de recherche Jeu 11 Oct - 12:40 | |
| En écoutant ce que Moses semblait avoir gardé au fond de lui depuis des années au sujet de Batman et des autres justiciers et des criminels de Gotham, Stephanie se dit que son scepticisme avait du sens après tout. Il était néanmoins inconcevable pour elle d’avoir une opinion semblable à celle de l’étudiant après tout ce qu’elle avait vécue. Même en plus bas âge, son père fut la première preuve irréfutable de l’existence de tels agissements criminels dans la ville. Elle se dit que c’était comme faire partie d’une religion : Il y a des prophètes et des gens très impliqués dans le rite religieux, il y a les fidèles qui ont été témoins de miracles, les croyants qui n’ont pas besoin de preuves pour croire et il y a les non-croyants. D’un côté comme de l’autre, les croyances de l’autre partie n’ont aucuns sens. Malgré toutes les preuves que l’ont pourraient leur présenter, les non-croyants le resteront. Il n’y a rien à faire.
Le travail qu’elle effectuait lui faisait tourner la tête : Pourquoi un étudiant en économie tomberait sur une formule chimique aussi potentiellement dangereuse? Ça n’avait aucun sens. Si l’on prenait pour acquis qu’il était innocent, qui avait mit ces formules sur le web? On trouve tout de même des recettes de bombes sur Google, pourquoi pas des formules chimiques qui pourraient mettre la vie de personnes en danger? Parce qu’elle était codée. Si la formule est codée, c’est pour la garder secrète. Cette formule venait d’un chimiste qui ne voulait pas que l’on découvre la nature de ses recherches. Si Moses était le chimiste en question, il n’aurait pas présenté cette formule à une inconnue pour qu’elle la décrypte pour lui. Cette formule provenait d’un chimiste potentiellement dangereux, mais Moses n’était pas le chimiste en question.
Elle présenta ses résultats à son suspect. Celui-ci se rapprocha d’elle pour voir dans un meilleur angle ce qu’elle avait écrit. Elle se crispa légèrement. Habituellement, elle aurait put prendre cela comme un compliment, selon la manière et la raison pourquoi un garçon se rapprochait d’elle mais, présentement, son esprit était bien trop en tempête pour pouvoir remarquer ce genre de détails et voyait cette approche comme une intrusion. Elle ne bougea pas malgré tout.
« Humm… À base de fluor tu dis? Le truc qu'il y a dans le dentifrice?... Et euhm... Ce gaz, sa finalité, tu as une idée de ce que peut provoquer cette formule? Le gaz volatile devrait provoquer quoi exactement? Et je regarde ton cheminement et n'est-il pas possible de le conserver liquide, comme pour l'injecter? Parce que sur la page web, il y avait des indices et l'un d'eux était justement une seringue...
- Ouais, mais le fluor se trouve pas seulement dans le dentifrice, expliqua-t-elle. Et pour une forme liquide, il y en a, mais en très faible quantité par rapport au gaz. Pour ce qui est de ce que peut provoquer le gaz… »
Elle réfléchit. Elle ne pouvait savoir ce que le gaz, ou le liquide, pouvait causer chez l’être humain. Elle était en microbiologie, pas en une quelconque branche de chimie. Ce n’était pas à ce quoi elle réfléchissait. Elle ne pouvait pas résoudre ce problème seule, elle lui faudrait l’aide d’O. Ou, plutôt, de Batgirl. Barbara pourrait tout lui dire au sujet de la formule, ainsi qu’au sujet de Moses. Elle n’avait qu’à mémoriser la formule, et elle irait lui rendre visite.
« Écoute, je ne crois pas un mot de ce que tu racontes. Cette formule pourrait être dangereuse, et je ne crois pas que tu ne sois pas au courant de tout ça. Alors, sois-tu me dis tout, ou bien je m’en vais. Compris? »
Elle présenta un doigt à l’ongle vernis au visage de Moses. Elle se voulait menaçante, et réussissait pas mal. Elle mit sa main sur le papier sur lequel elle avait fait ses calculs pour pouvoir l’emporter avec elle si l’autre choisissant la seconde option.
| |
| | | Moses Fischer/Tatters
| Sujet: Re: Travail de recherche Jeu 11 Oct - 13:49 | |
| Tu te fou moi là?
Il avait reculé en disant cela. Wow, il n'en croyait pas ses oreilles, elle l'accusait de je ne sais pas trop quoi. Il y a une chose qui était sur c'est que cette fille avait une case en moins ou elle avait quelques choses à cacher. Il n'aurait pas dû se laisser berner par le physique de Stéphanie. Elle lui avait plus et il s’était laissé rapidement conquis. Pourtant Tatters est l'exemple vivant, du fait qu'il ne faut pas se fier aux apparences. C'est une chose qu'il cherche à transmettre à chaque fois qu'il porte son costume, il cherche à démontrer qu'un costume chic ou high-tech ne fait pas de nous un héros, mais nos agissements le fondent. L'agissement de Stéphanie justement était intolérable. Même si elle avait raison, il n’allait certainement pas lui dévoiler son identité secrète il ne la connaissait pas du tout…
Que grand bien te fait si tu ne me crois pas. Je voudrais te rappeler que c'est toi la fille qui s’est mise à espionner mes travaux, qui a cherché à m'aider alors que je n'avais rien demandé. Ensuite tu me poses 200 questions auxquels je réponds le plus honnêtement du monde et toi tu te permets de me traiter de menteur. Je te dis que pour une première impression tu fais fort Mme. L'inspecteur du GCPD. En plus, tu viens me bassiner alors que je fais un travail de recherche très simple avec un des attardés de Gotham. Si tu es frustré, ne viens pas te calmer dans ma cour. J'étais bien tranquille à faire mes recherches moi. Tu te pointes et tu me traites de menteur... Super. Quelle belle journée!
Non, mais c'est vrai j'ai fait quoi de mal à part poser des questions sur quelque chose qui de toute évidence tu connais et moi non? Ce n’est pas ça le principe d'aider? Si mon explication ne te satisfait pas, je ne te force pas à rester. Putain, je n’arrive pas à le croire on s'installer tranquille et on vient m'insulter... j'ai besoin de ça tu penses? Tu te prends pour qui?
Oui il jouait les vierges offenser, il faisait le surpris et l'insulter. Il y avait de quoi quand même. Elle se pointait là et en moins d'un échange de phrase ou deux, elle l'avait dépeint comme un futur psychopathe. Si ses formules étaient archivées et publiques, c'était bien parce qu'il n'était pas le seul au monde à s'en servir. Pour son explication d'internet, il s'avoua qu'elle était un peu faible, mais après tout on trouve de tout sur le web et il n'y avait rien de plus normal qu'un économiste joue avec des chiffres et des lettres, ça pratiquait la logique, compétence essentielle dans son "travail".Si elle avait un problème elle avait qu'a foutre le camp.
Il voulut recommencer à parler. Mais un
Chutttt
Lancé par Mme Beverly le dissuada. Il ne s'en était pas rendu compte, mais il avait un peu élevé la voix en parlant à Stéphanie. On l'avait piqué dans son amour propre il avait démarré au quart de tour, sans réfléchir à l'endroit ou il se trouvait. Il fit un petit signe de la tête à Madame Beverly signifiant qu'il s'excusait puis attira les papiers des différents dossiers avec sa main. Tout en marmonnant des trucs du genre: je n’y crois pas... elle se prend pour qui?
Stéphanie était toujours devant lui, mais si, elle ne s'excusait pas elle ferait mieux de partir. | |
| | | Stephanie Brown/Spoiler
Localisation dans Gotham : Là où il y a de l'espoir
| Sujet: Re: Travail de recherche Mer 17 Oct - 14:07 | |
| La réaction de Moses ne se fit pas attendre : Il recula sur sa chaise et paraissait réellement offenser par ce qu’elle avait dit. Il y avait de quoi, c’est sûr, mais il se défendit tout de même d’une manière qui confirma pour Stephanie qu’il cachait quelque chose. Ceci n’était pas une preuve, mais ce détail fit qu’elle ne reculera pas. Elle se tenait toujours assise devant lui, le poing maintenant fermé, et bouillait intérieurement de répondre au long monologue de l’étudiant. Elle ne désirait pas le couper, elle voulait entendre ce qu’il avait à dire. La jeune blonde ne voulait pas se faire de Moses un ennemi, mais elle savait par expérience qu’il pouvait y avoir des criminels partout, même à l’Université. De toute manière, il y avait une année qu’elle étudiait en ces murs, et jamais elle ne se souvenait l’avoir vu. Elle ne croyait pas devoir le revoir de sitôt. Lorsqu’elle décela une pause dans le discours de Moses, elle voulut répliquer. Sa bouche s’ouvrit mais, avant qu’il n’y ait un son qui puisse sortir de sa gorge, le « Chut! » d’une autorité supérieure ramena le silence entre les deux étudiants. Son adversaire semblait avoir voulu lui aussi parler, mais se résigna lorsque l’ordre de silence fut lancé. Il décida plutôt de prendre ses papiers et de les rangés dans son sac. Stephanie ne put se saisir du papier contenant la formule sur laquelle elle avait travaillée, mais celle-ci était encore assez fraîche dans sa mémoire pour pouvoir la retranscrire le moment venu. Elle comptait bien découvrir ce qui avait derrière tout ça, et cette formule énigmatique était la clé. Dans son hâte de rangement, Moses marmonnait des trucs qu’elle ne put entendre clairement, mais devina sans problème la nature de ces commentaires. Elle respira un bon coup, pour se calmer un peu. Les reproches qu’elle avait reçus à son égard l’avaient d’avantage pompé que tout le reste. Elle avait apprise à se calmer rapidement, à relaxer pour ne pas se laisser emporter par la colère. Elle se leva de sa chaise en la renversant presque lorsqu’elle se braqua sur ses jambes. Elle retint le dossier de sa main et regarda autour d’eux du même coup d’œil. Il n’y avait toujours pas grand monde, mais elle pouvait imaginer les oreilles des autres se tendres pour tenter de percevoir d’avantage la conversation et ne manquer pas une seule parole désobligeante. Il y avait la responsable de la bibliothèque plus loin qui leur jetait des regards par-dessus ses lunettes, attendant la prochaine occasion pour les prier de se taire. Son attention se reposa sur son ancien collègue qui était maintenant prêt à partir. Elle ne savait pas vraiment quoi riposter, n’était plus en colère et sans rancune contre lui. Elle avait seulement voulu le confronter et arrêter de l’aider dans, ce qu’elle croyait être, quelque chose de dangereux. Ce qu’il avait dit par contre était blessant et ne le rendait aucunement blanc comme neige à ses yeux. Au contraire. La manière qu’il avait à se défendre, certain termes qu’il avait utilisés lui trottinaient encore dans la tête. Elle lui adressa d’une voix basse : « Je me prends pour quelqu’un qui sait qu’à force de jouer avec des produits dangereux, il ne faut pas se surprendre que le tout nous explose au visage. Si tu veux bien m’excuser. » Se saisissant du livre qu’elle avait amené avec elle traitant de l’histoire de Gotham, elle décida finalement qu’elle n’avait plus envie de lire pour le moment et reposa le bouquin sur la table de travail nonchalamment. Quelqu’un allait bien serrer le livre, sauf si Moses décidait de le faire lui-même. Elle tourna les talons et repartie vers d’où elle était venue, ses cheveux blonds en queue de cheval agissant comme un nuage de fumée pour appuyer sa fuite. Stephanie marchait droit devant elle sans se retourner et rejoint son espace de travail où étaient posées ses affaires. Elle s’assit un instant, et décida que son travail était terminé. Ce n’était que de l’étude pour prendre de l’avance de toute manière, rien de vraiment important. Et puis, à cette heure, les téléromans à l’eau de rose de sa mère étaient probablement terminés. | |
| | | Moses Fischer/Tatters
| Sujet: Re: Travail de recherche Mer 17 Oct - 20:26 | |
| Moses était toujours furieux et trouvait Stéphanie complètement à côté de la trac. De toute évidence elle avait quelque chose à cacher et c'était aussi évident que le nez au milieu du visage. Malheureusement Tatters avait les idées ailleurs et au lieu de se focaliser sur les états d'âme de Stéphanie, il avait décidé de prendre le bon et de laisser le mauvais. Équipés de ses nouvelles connaissances et de la preuve que les recherches de Crane étaient à la source de la formule de Narcosis, ses plans se confirmaient.
Il se leva remit ses propres dossiers dans son sac. Puis il se saisit des documents d'archives sur Crane et alla dans la rangée d'où Mme. Beverly les avait sorti. Il mit un peu plus de temps à trouver l'endroit où étaient rangés les autres travaux de Jonathan Crane. Ils étaient de notoriété publique certes, car subventionné en partit par l'état, mais ils étaient... disons, non-conventionnel. Ils n’étaient donc pas dans le classement alphabétique, mais dans une section tout en haut de l'étagère. En rangent le document, un sourire se posa sur son visage. Stéphanie l'avait après tout aidé, et c'était l'excitation d'aller confronter l'épouvantail qui le faisait sourire. Après tout ça s'annonçait être une belle chasse et il n'avait encore pas encore eu le luxe de croiser un ennemi officiel de Batman. Les ennemies de Ragman sont traditionnellement plus occultes, sectaires et mystiques.
Hey bien M. Scarecrow, j'ai bien hâte de vous rencontrer en personne.
Il avait parlé à voix basse, mais il n'avait pu s'empêcher de l'énoncer à haute voix. Il ne savait pas encore ou Crane se trouvait ou encore comment le trouver, ou qu'est-ce qu'il allait devoir faire, mais il s'avait qu'il s'y rendrait. Il savait par contre qu'il aurait besoin d'un masque à gaz. Après avoir vu ce qui s’était passé avec Catgirl il ne voulait prendre aucun risque. Ensuite il allait devoir cuisinier certain des informateurs de Ragman et surtout... le cacher à Ragman. Après tout, si Rory apprenait qu'il allait s'en prendre à Scarecrow, il l'aurait sûrement empêché. Il aurait envoyé un indice à Batman ou à d'autres justiciers. Mais dernièrement Rory s’était fait distant et c'était une chance de plus d'apprendre par lui même. Il allait donc s'occuper de l'épouvantail, tout seul.
Moses prit ses affaires une fois terminer. Ensuite il passa devant Mme. Beverly et fit un sourire d'excuse à la responsable. Ce n'était pas dans ses habitudes de déranger, mais cette fois ça avait mal passé. Il s'en voulait un peu d'avoir troublé la quiétude de cet endroit, mais c'était un moindre mal... Il allait s'attaquer à Jonathan Crane. | |
| | | Beryl Hutchinson/Squire
| Sujet: Re: Travail de recherche Lun 22 Oct - 18:20 | |
| Justement, ce jour-là avait été choisi par Beryl, en journée de congé, pour consulter les thèses des historiens chercheurs de l'Université de Gotham. Des détails très intéressants sur les Quatre Familles, ainsi que sur la construction de la ville, lui permettraient de mieux s'imprégner du lieu, de ses mystères, de ses subtilités. Puisque le département d'Histoire était plutôt bruyant, elle s'était installée à l'étage des sciences exactes, afin de bénéficier de la tranquillité d'une section plus studieuse.
Une curieuse conversation, dont le ton ne faisait plus que monter, finit par attirer son attention, voire lui faire regretter de ne pas être restée là où elle avait trouvé ses ouvrages sur Gotham. Néanmoins, et bien qu'elle n'y comprenne pas grand chose, le nom de Jonathan Crane, criminel fou dangereux, recherché pour ses actions sur le système neuronal de ses victimes, et l'un des noms qui entachent la liste des anciens experts d'Arkham, attira vivement son attention.
Lorsqu'elle entendit le jeune adolescent, jurer qu'il rendrait visite au savant fou, Beryl reposa immédiatement ses ouvrages sur un chariot dans l'allée, et résolut de le suivre. Qui qu'il soit, il était au moins dangereux pour lui-même, peut-être bien pour les autres de surcroît. Après une filature extensive, elle revint se renseigner, afin de confirmer que le jeune homme était bien Moses Fischer, gothamite de seize ans. Elle en savait suffisamment pour ne pas le perdre. Et lâcher le morceau serait irresponsable. | |
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