Eve Feynman
Localisation dans Gotham : Dans la rue
| Sujet: Eve Feynman Dim 29 Juil - 18:22 | |
| Votre Personnage
Nom : Feynman Prénom : Eve Âge : Techniquement, 17 ans Sexe : Féminin Nationnalité : Américaine
Groupe : Gothamites Alias : // Affiliation : Aucune
Orientation sexuelle : Hétéro Statut : Célibataire Profession : Aucune
Description physique : (10 lignes minimum) Sous sa véritable forme, c'est une adolescente tout ce qu'il y a de plus classique. Elle possède de long cheveux brun, un peu en bataille ( elle ne les brosse pas très souvent hélas ). Elle préféra toujours s'habiller avec des robes ou des jupes, elle aime bien avoir l'air d'une petite fille...Pourquoi ? Cela tiens surtout de son histoire avec sa famille, avec son père plus précisément. De petite taille pour son âge, elle est fine, et agile.
On est loin de s'imaginer en la voyant qu'il s'agit d'une réelle machine à tuer. Un visage doux, angélique, une image de petite érudit et d'enfant bien élevée...C'est ainsi que tout le monde la perçoit et c'est cette image qu'elle semble cultivé à jamais. Son allure d'enfant sage en aura piéger plus d'un, elle se sert de celle-ci pour duper les gens et les piéger. Avec ses "capacités", elle se donne une apparence physique entre dix et treize ans.
Son visage exprime toujours une certaine méfiance, quelque chose d'inquiétant et pourtant d'attachant. Ses yeux sont une porte vers sa peine constante, son sourire une fenêtre vers sa tristesse. Il ne faut pas être devint pour savoir que cette enfant ne semble pas avoir eu la vie facile et pourtant, on n'imagine que très difficilement que la demoiselle serait capable de faire de vous des dés pour une salade peu commode...Un véritable paradoxe pour une fille qui ne connait pas les sentiments et qui pourtant à un visage qui les exprime.
Estimant qu'elle n'a besoin de personne d'autre qu'elle-même, elle se trompe lourdement hélas et aura très certainement besoin d'un mentor pour lui apprendre à sérieusement contrôler ses pouvoirs mais aussi à apprendre les choses de la vie, reste à savoir qui la trouvera la première.
Description psychologique : (10 lignes minimum) Eve est le produit d'une étrange expérience, une parfaite symbiose entre l'être humain et la machine. Certains diront que c'est un véritable bijou de technologie, d'autres auront pitié de cette fille, trouveront cela contre nature...Mais ce que pense Eve dans tout ça ? Absolument rien ! Cette parfaite symbiose entre la nanorobotique et elle, possède plusieurs inconvénient. Le premier étant le remise à zero de bon nombre de ses acquis, entre autre: la reconnaissance entre le bien et le mal. Eve ne reconnait absolument pas ces deux "côtés" de la vie. Elle agira pour sa sécurité, pour son bien, pour sa curiosité, en d'autre terme...Elle agira surtout pour elle. Elle ne connait rien à l'amour, ni à l'amitié, et il en va de même pour la confiance, la loyauté. Alors vous vous dites que cet enfant n'est qu'une idiote ? Absolument pas, si elle ne connait rien à tout ce qui touche les sentiments, intellectuellement par contre elle est capable d'apprendre beaucoup de chose. Il lui suffit d'observer pour apprendre, son cerveau est une véritable éponge ! Absorbant la moindre de ses connaissances, qu'elle soit sportive ou intellectuel.
Mais qui était Eve avant cette "transformation" ? C'était une enfant, âgée de 10 ans, une petite fille douce, fragile, aimant les licornes et les papillons. Rien de bien passionnant. C'était une petite fille qui aimait sa mère et son père plus que tout au monde, elle aimait les farces et les sucreries, une naïve petite fille, maline et gentille. Une enfant facile.
Histoire : (20 lignes minimum)
Partie I : L’espoir fait vivre.
« Pour le moment, nous pouvons la maintenir en vie mais… » « Non…Elle reste en vie… »
Je me souviens encore de la voix tremblante de ma femme, des bips constants des machines et le souffle artificiel de l’une d’entre elle. Ma petite fille…Eve…Ce connard de chauffard a plutôt intérêt à ne jamais croisé ma route, tout ça est de sa faute ! Ma petite fille est sur un lit d’hôpital dans un semblant de vie artificielle, elle n’a que 10 ans bon sang ! Elle ne pourra plus rire, je ne pourrai plus l’entendre rire mais surtout la femme que j’aime ne pourra plus jamais sourire. C’est à peine si elle me laisse entendre encore le son de sa voix, et c’est en quittant les lieux, laissant ma femme dans la chambre de notre fille que je décide de tout mettre en œuvre pour que cette situation cesse immédiatement ! J’y passerai des heures, des jours, des semaines, des mois et même des années. Plus le temps passe et plus les choses semblent reprendre son cours, ma femme semble faire son deuil mais je m’y refuse !
« EVE N’EST PAS MORTE ! »
Je l’avais hurlé si fort, de tout mon être, de tout mon cœur…Ma petite fille, mon petit ange. Et la promesse que je me suis faites il y a septs ans maintenant, malgré tout l’argent que j’y ai investi, toute l’énergie, je pense enfin y être arrivé. L’hôpital refuse de me rendre ma fille mais j’en ai rien à faire, je viens te chercher, je t’emporte avec moi et on me considère comme un hors-la-loi, un criminelle, quel ironie ! Je suis là pour te rendre ce qu’on t’a volé ! Parce que cette putain de ville est incapable de te rendre justice ma petite Eve…Incapable de faire quoi que ce soit…Elle n’est que la pathétique spectatrice de son propre déclin. Ma main posée sur ta joue, je me remémore ton dernier anniversaire, tes rires, tes sourires, et tes yeux…Ton regard pétillant comme j’aimais tant à le dire. Et si je suis incapable de te ramener à la maison, notre vraie maison, si je suis incapable de te rendre ton sourire, alors je préfère autant mourir. C’est dans cette perspective que j’arme un revolver, dans la cave de notre maison familial, mon bureau, je suis scientifique et c’est la science qui va m’aider à te ramener et non les inutiles prières.
Une première injection, une seconde, je pose les électrodes sur ta boite crânienne et j’envoie la décharge qui activera ce bijou de technologie qu’est les nano machines. Elles ont l’exact programmation, tels des globules, ils prendront soin de toi ma chérie, plus aucune blessure, plus aucune coupure, plus de bobo, juste le bonheur, la joie de vivre…Ma petite princesse. Je ferme les yeux, inspire profondément et ôte de tes voies respirations le long tuyau qui gonfle tes poumons t’oxygène. Tu ne respires plus et je fixe ta poitrine dans l’espoir de la voir ce soulever dans la vie mais tu ne respires toujours pas et mon dieu…Que les minutes sont longue, je sens mon cœur s’arrêter, ma respiration se couper, mes larmes me monter aux yeux, je ne pourrai pas supporter de vivre une année de plus sans entendre tes espiègleries, sans t’entendre m’appeler « papa ».
Ma main se pose sur mes yeux, je retiens un sanglot et je me laisse glisser sur ton lit…Aurais-je échoué ? Je pleure sans pouvoir m’arrêter, le chagrin m’immerge et je me noie littéralement, incapable de pouvoir véritablement reprendre ma respiration. C’est une délicate chaleur qui se pose sur ma tête qui finit par me faire sursauter, je me lève, tu as les yeux ouvert, tu es faible mais tu respires. Ton regard est étrange mais cela n’a pas d’importance parce que je retrouve ma petite eve, ma petite fille, ma petite princesse. Je te prend doucement dans mes bras, j’ai si peur de ta casser en deux, j’ai tellement peur…Peur de perdre à nouveau.
« Eve… »
Je te repose délicatement sur le lit, je t’ordonne doucement de dormir, je t’explique que tu es très fatigué et très malade mais que ton papa veille sur toi, que ton papa sera toujours là, toujours là pour toi.
Partie II: La vérité tue...
Il parait que je m’appelle Eve. C’est du moins ce que le monsieur m’a dit quand j’ai commencé à parler. Il m’a dit que je ne devais pas m’inquiéter, que mes souvenirs allait revenir et pourtant…J’ai beau faire absolument tout ce qu’il me dit, je n’arrive pas à me souvenir. Je lui ai demandé ce qui m’était arrivé et il m’a alors raconté que j’étais sa petite fille, que lui et maman m’aimait vraiment beaucoup et que nous étions heureux mais qu’il y a sept ans de cela, le lendemain de mes dix ans, un homme en voiture m’a foncer dessus alors que j’attendais le bus scolaire devant la maison. Il m’a dit que je me suis alors endormie sans plus pouvoir me réveiller mais qu’il a mis tout son cœur pour trouver une solution, il a mis sept ans pour que je puisse me réveiller. J’apprends doucement à refaire des choses simples comme marcher, je me sens parfois si bête. Maman est venu me voir le lendemain de mon réveil, papa avait l’air fière de son travail, fière de me voir réveiller mais maman, elle, elle s’est simplement mise à pleurer et elle est remontée à l’étage. Je vis comme une petite fille, d’ailleurs mon corps change parfois…Papa dit que c’est un des effets du médicament qu’il m’a donné pour me réveiller.
Maman regarde souvent une photo de moi, avant, j’ai envie de lui faire une surprise…J’ai retrouvé la robe dans la chambre, dans ma chambre…Je l’ai mise et je suis venue la voir :
« Maman… » « Ne m’appelle pa…Mais…Qu’est-ce que tu as fait ? » « J’ai mis ma jolie robe… » « Ce n’est pas TA ROBE ! » « Mais maman… » « NON ! Ne m’appelle pas comme ça ! Je t’en supplie ! Ma petite fille est morte, tu n’es pas ma petite fille ! EVE EST MORTE ! »
Elle m’a lancé un objet au visage, ça m’a fait mal, et je l’ai regardé sans comprendre pourquoi elle pleurait, pourquoi elle était triste, je suis Eve non ? J’ai du sang sur les doigts, mais je n’ai plus de blessure, papa dit que c’est les médicaments, il éloigne maman et me demande de redescendre…Et je le fais.
Je les entends se disputer, de plus en plus souvent. Maman arrête pas de dire que je ne suis pas sa petite fille, c’est vrai que je n’ai pas de souvenir mais, c’est mon corps, mon visage, j’ai les yeux, le nez, la bouche, si je ne suis pas sa petite fille, qui je suis ? Papa m’a expliquer que maman était triste parce qu’elle c’était simplement faite à l’idée de ne jamais plus me revoir et qu’aujourd’hui, c’est beaucoup trop d’émotion pour elle, qu’il lui faudrait du temps…Beaucoup de temps…Que ce n’était pas de ma faute. Je ne comprends pas grand-chose, il me sert dans ses bras, je le sers dans les miens.
Et puis un jour, j’ai eu le droit de remonter. Maman était partie, c’est papa qui me l’a dit, il m’a dit « il ne reste plus que toi et moi ma petite princesse, mais ce n’est pas grave, tous les deux on sera heureux ». J’ai le droit d’aller dans ma chambre maintenant, malgré tout, je n’ai toujours pas de souvenir de tout ça, de tous ces jouets, ces vêtements, je découvre tout et rien ne m’est familier, rien ne m’attire vraiment, c’est une chambre, à point c’est tout.
Partie III : Qui suis-je ?
Le père et la fille coulait des jours heureux, du moins, c’est ce qu’on aurait aimé croire mais à vrai dire, plus le temps s’écoulait plus le scientifique se rendait compte du nombre grandissant de différence entre la Eve qu’il avait connu et celle qui c’était réveillé un soir dans son laboratoire. Il apprenait aussi que les nanomachines qu’il lui avait injectés lui permettaient bon nombre de chose, la première découverte fut de voir qu’elle pouvait passer de l’apparence de ses 17 ans initiale à celle de sa petite Eve de 10 ans. Il savait déjà que les nanomachines permettaient à sa petite fille de guérir très rapidement des coupures, rien semblait pouvoir lui faire du mal à présent et l’enfant n’avait plus à craindre la mort aujourd’hui, du moins, plus de la même manière. Le scientifique savait pertinemment comment la tuer, il suffisait de neutraliser les nanomachines et pour ça il y avait différente façon : les ondes à impulsion électro magnétique, la moindre petite décharge électrique pouvait trop exciter les nanomachines et la mettre en déroute. Le plus radical serait de l’électrocuter dans de l’eau… Mais ce ne fut pas sa plus grande découverte, celle-ci, il l’a fit un soir lorsqu’il entendait de l’autre côté du mur les gémissements et les plaintes de l’enfant, elle faisait un cauchemar et il c’était rapidement levé pour la retrouver, s’arrêtant net à l’entrée de la chambre. Ce qu’il vit sous ses yeux était à la fois beau et extrêmement effrayant. Le bras droit de son enfant ressemble à une épée, fine, et tranchante…Elle l’abattit dans le mur comme on enfonce un couteau dans du beurre, laissant derrière son passage un petit trou pas plus épais que la lame. Il finit par prendre son courage à deux, immobilisant l’enfant pour pouvoir la réveiller, et à son réveil…Le bras redevint bras.
Depuis ce jour, l’homme passa énormément de temps à entrainer sa petite fille, n’allez pas croire qu’il souhaitait en faire une arme. Non…Tout ce qu’il souhaitait c’était qu’elle contrôle cette partie-là de ses capacités, il ne souhaitait pas que sa petite princesse tue ou blesse quelqu’un par accident. Et c’était étrange, toute l’éducation était à refaire, il se rendait compte que cette Eve-là n’avait plus aucun sens du bien et du mal, qu’elle avait tout à apprendre à ce sujet, tout… Elle n’aimait pas la glace à la vanille, préférait celle à la fraise alors que l’Eve qu’il avait connu ne jurait que par la vanille. Elle adorait peindre, et lire, alors que l’Eve qu’il avait connu préférait faire les 400 coups, grimper dans les arbres et jouer. Elle mangeait absolument tout alors que son Eve à lui passait plus de temps à marchander pour le repas qu’autre chose. Les différences s’accumulaient, les unes après les autres, et puis un jour le scientifique se dit alors :
« Eve est morte…Il y a 7 ans… »
Cette vérité, cette révélation, eut l’effet le plus douloureux que l’homme ait pu connaître. Ce qu’il avait réveillé un soir dans son laboratoire n’était pas sa Eve, c’était une toute autre petite fille, une petite fille sans souvenir parce qu’en réalité, elle était simplement née et avait tout à refaire. Faire le deuil de son enfant lui était impossible, il ne pouvait pas croire à cette possibilité qu’au final il ait simplement échoué dans sa promesse de faire revenir sa petite princesse parmi eux. Face au miroir de sa salle de bain, il ne se rendit pas compte qu’Eve était apparu derrière lui, jusqu’à ce qu’elle l’appelle :
« Papa ? »
Il se retourna vivement, essuyant d’un revers de la manche les larmes qui avaient commencé à poindre au coin de ses yeux. Observant l’enfant, il se souvenait alors que jusqu’à présent, il ne l’avait jamais vu sourire, ni même pleurer. Machinalement, il l’emmena dans sa chambre, la borda, et l’embrassa sur le front, mais avant qu’il ne sorte, elle lui demanda :
« Tout va bien ? »
Il acquiesça, ferma la porte derrière elle et s’en alla… Aujourd’hui, ce ne fut pas la voix de son père qui la réveilla, mais un rayon de soleil directement posé sur ses paupières. Elle s’étira, quitta son lit et fit la route jusque dans la cuisine, se disant que peut-être il n’avait pas eu le temps de terminé le petit déjeuné…Mais rien, le silence complet.
« Papa ? »
Demanda-t-elle une première fois, sans jamais avoir de réponse, elle chercha dans chacune des pièces de la maison, mais elle ne trouva pas son père…Jusqu’à ce qu’elle décide de revenir à l’endroit où elle c’était un soir réveillée. Elle ouvrit la porte grinçante, les lieux étaient plongé dans les ténèbres, seul une lueur provenant du fin fond du laboratoire lui parvenait :
« Papaaaa ? »
Aucune réponse, mais elle décida de descendre malgré tout. Cette pièce lui semblait beaucoup plus familière que tout le reste de la maison mais son père, depuis qu’il l’avait amené à l’étage, ne souhaitait plus la voir en ces lieux. Arrivé enfin au laboratoire, elle retrouva l’homme qu’elle cherchait. Il était silencieux, le teint terne, il semblait n’avoir plus de force… Ces pieds ne touchaient plus le sol, une chaise renversée s’y trouvait à la place, alors que sa tête permettait à son corps cette position de « lévitation » grâce à une corde enroulée autour de son cou, accroché soigneusement sur l’une des poutres solides de ce laboratoire. L’enfant resta un moment interdite devant ce spectacle, ignorant complètement ce qu’elle devait dire ou bien faire. S’approchant, malgré tout, elle finit par posé ses yeux sur ce qu’illuminait la lampe de bureau…Sur le mur, il était écrit partout "Eve est morte, désolé", des milliers de fois, c’était tellement fouillis et répété qu’on avait du mal au premier coup d’œil à lire ses quelques mots. Se tournant vers la dépouille pendue de son père, elle le fixa :
« Je suis qui alors ? »
Partie IV: Il était une fois...
Il était une fois, une petite fille sans parent, sans souvenir, sans but, elle ne savait pas qui elle était. Fruit d'une expérience scientifique, elle ne connaissait rien, absolument rien, ne savait pas ce qu'était un rire, un sourire, ni la douleur...Elle n'apprenait pas les choses de la même manière parce que cette petite fille était pas née du fruit entre l'amour d'un homme et d'une femme, elle était née de l'obsession et des connaissances de l'homme.
Abandonnée de tous, elle commença à errer seule dans les rues dangereuse de Gotham, ne demandant qu'une seule et unique chose: Savoir qui elle était vraiment... Observatrice et discrète, elle enregistrait le mode de vie de bon nombre d'habitant de Gotham City et bon nombre d'entre eux n'était pas un exemple à suivre pour une petite fille à peine née. Parfois petite fille, parfois jeune fille, elle n'en restait pas moins qu'un nouveau né dans cette ville.
Famille : Une mère qui a refait sa vie ailleurs après sa "renaissance" et un père qui a fini par se tuer. Alliés : Aucun Ennemis : Tout ceux qui lui voudront du mal
Compétences : le corps d'Eve est truffée de nanomachine qui lui procure un système imunitaire supérieur à la moyenne ( elle ne tombe pas malade ), elle va guérir un peu plus vite que les autres face à des coupures mais elle reste vulnérable aux attaques ( armée ou non ). Ca lui permet de pouvoir transformée certaine partie de son corps. Ces nanomachines lui permettent de déformer son corps, faisant par exemple sortir des lames de ses bras, il faut savoir que chaque changement demande un certain laps de temps ( il s'agit d'une déformation musculaire et osseuse, cela ne se fait pas de manière instantanée surtout si il s'agit de gros changement ). Lorsqu'elles sont excitées extérieurement, Eve perd le contrôle d'elle-même. Les ondes IEM pourrait lui être fatal, ainsi qu'une surchage électrique. Cependant les nanomachines ont des limites, elle peut changer d'apparence physique mais seulement du point de vue du temps ( se faire vieillir ou rajeunir ), elle est incapable de pouvoir prendre l'apparence physique d'une autre personne.
Hors Jeu
Présentation : On m'appelle Zuzu, je suis une grande fan de Batman depuis la série animée, j'ai 22 ans. voili voilou :p
Disponibilités : 2/3 fois par semaine
Pourquoi avez-vous choisi ce personnage? Invention personnelle ^^
Avez-vous lu le règlement et approuvez-vous tous les points? Je signe et j'approuve :p
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