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 Wilkes Welhet, fils de criminel

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Wilkes Welhet

Wilkes Welhet



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MessageSujet: Wilkes Welhet, fils de criminel   Wilkes Welhet, fils de criminel Mininew-3561a9aLun 15 Oct - 19:18

Votre Personnage

Nom : Welhet
Prénom : Wilkes
Âge : 17 ans
Sexe :
Nationnalité : Américain

Groupe : Criminels
Alias : Aucun pour le moment
Affiliation : à venir

Orientation sexuelle : hétéro
Statut : célibataire
Profession : étudiant

Description physique : (10 lignes minimum)

A 17 ans, Wilkes n’a hérité que de peu de trais de sa mère. Il n’est pas très grand mais possède une forte carrure, ce qui lui à valu de nombreuses persécutions de la part de ses camarades de classes. Ses cheveux son brun et son visage est plutôt rond, mais traduit une expression très mature, des traits durs et sévères accentués par des yeux plutôt fins en amande de couleur émeraude. Son regard est froid, pour ne pas dire glacial, il ne traduit que très peu d’expression et reste constamment distant de tout ce qui lui donne un air complètement détacher du monde qui l’entoure. Les expériences qu’il à endurer lui on forgées un caractère de fer, d’un naturel très calme il est toujours très détendu et donne un air confiant même si intérieurement ce n’est pas toujours le cas, mais son mot d’ordre et de ne jamais laisser transparaître aucune émotion quelconque. Son nez est plutôt long et ses lèvres restent généralement figées dans une moue neutre et sans expression réelle mis à part lorsqu’un rare rictus les étirent en un sourire mauvais.

De part son apparence, Wilkes fais plus âgé qu’il ne l’est, il pourrait sans problème être vu comme un jeune homme d’une vingtaine d’année alors qu’il est encore mineur. En général il s’habille avec ce qu’il trouve, n’ayant pas de style particulier il s’efforce tout de même de renvoyer une image relativement distinguer pour ne pas paraître négligé. Ses couleurs de prédilection restent le jaune et le blanc. S’il possède une certaine force physique, on ne peut pas vraiment dire qu’il sache s’en servir n’étant pas un adepte du combat rapproché, voir même du combat tout court. Il porte à son cou un médaillon renfermant une photo de sa mère, mais il prend généralement soin de le dissimuler derrière une chemise bien fermée.

Description psychologique : (10 lignes minimum)

C’est difficile de décrire précisément l’esprit de Wilkes. Longtemps persécuté à cause de son physique ou bien de la vie qu’il menait au quotidiens avec sa mère prostituée, il à fini par perdre toute confiance en la bonté humaine, pour lui c’était simple il n’y avait que le rejet de l’autre, le mépris et la haine à son égard, tout comme il ne crois nullement en la justice. Persuadé que la loi n'est faite que pour être enfreinte il à perdu toute foie en une quelconque forme d'héroïsme comme Batman ou les autres justiciers. Pire il les méprise tous car s'ils avaient fait correctement leur travail sa mère n'aurait surement pas été tué, alors il les juges responsables et n'hésite pas à clamer tout haut qu'ils ne font aucun réel effort pour protéger leur ville. Mais Wilkes à toujours su garder une force de caractère hors du commun, aussi jamais il ne se laisse céder à l’émotion, jamais il ne laisse ses sentiments prendre le dessus sur son intellect aussi il s’efforce de toujours paraître désintéressé de tout, comme si rien ne pouvait le toucher, comme si chacune des remarques qu’il recevait lui passait au dessus de la tête.

Aussi il possède une grande force de self-control, s’il y a bien une chose qu’il sait faire c’est se retenir de laissé éclater sa rage ou sa frustration, mais il a des moments ou la tension deviens trop forte pour tout contenir et à ce moment là Wilkes peut sans problème devenir le pire des hommes, il sait manipuler les mots comme personne et sait tout à fait les employer là où ça peut faire très mal et de la pire façon que ce soit. Dans ces moments là il est sans scrupule, ignorant pleures, supplication et excuses en tout genre. Wilkes peu paraître au premier abord comme quelqu’un d’hautin et méprisant mais c’est surtout due à son regard froid et distant de tout, tout comme sa façon de s’exprimer rester plate et neutre sans vraiment exprimer une quelconque émotion.

Si l’adolescent ne laisse personne pénétrer sa carapace c’est peut être avant tout parce qu’il à longtemps souffert de sa condition , l’absence de son père lui laissant un grand vide et le laissant envieux des autres garçons qui eux pouvaient compter sur une présence masculine pour les soutenir. Mais c’est par cette solitude qu’il développe l’une de ses plus grandes qualités, sa conviction et sa confiance en lui, il est déterminé par-dessus tout à se sortir de son train de vie et de retrouver ce père qui avait laissé un tel vide dans sa vie.

Histoire : (20 lignes minimum)

Wilkes, toi qui es né d’une union sans lendemain, tu as vu le jour par une froide nuit de décembre, une mauvaise période pour enfanter, mais c’est ainsi. Wilkes, je ne serais jamais à la hauteur des attentes que tu espère de moi, moi qui ne suis qu’une fille de rien, je ne devrais même pas avoir l’autorisation divine de te garder près de moi, mais tu es là, alors pourquoi ai-je décidé de t’assumer toi plutôt qu’un autre, pourquoi t’ai-je donné ta chance alors que d’autre avant toi n’on jamais pu voir le jour, ton futur nous apporteras sans doute la réponse mais pour l’heure pardonne moi. Wilkes, tu n’as jamais pu être vraiment accepté dans ton entourage, sans doute à cause de moi, alors que tes camarades se ventaient des emplois bien portant de leurs parents, leur offrant une situation financière des plus vivables, toi tu ne pouvais que souffrir de la mienne. Et pourtant, tu ne m’a jamais dit que tu m’en voulais. Si tu savais combien j’aurais aimé que ta vie soit un peu meilleure, et pourtant j’aurais surement pu t’offrir un meilleur avenir, si seulement tu avais su, si seulement il avait su, mais quel aurait été sa réaction, surement pas celle à laquelle j’aurais aimé m’attendre, je savais déjà que ta naissance ne signifierait surement rien pour lui, ainsi je t’ai caché ce secret que j’aurais aimé dissimuler plus longtemps, mais j’aurais du me douter que tu finirais par tout découvrir et aujourd’hui plus que jamais je voudrais que ta vie soit meilleure que la mienne. Deviens quelqu’un, extrait toi de l’enfer dans lequel je t’ai plongé malgré moi et retrouve celui à qui tu dois la vie. Peut être avais-je tord de te priver de lui si longtemps, le temps nous diras ce qu’il adviendra de toi mais j’ai confiance en toi, j’ai simplement cette inquiétude que possède toutes les mères vis-à-vis de leur enfant.

Mary Welhet


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"Les destins nous conduisent ; le rôle de chacun est fixé dès la première heure de sa naissance."
Sénèque

Chapitre 1 – un malheureux évènement

« Maman, maman à l’école y disent que ma naissance est un accident et que tu n’as jamais voulu de moi c’est vrai ? »
« Cet accident, est surement la plus belle chose qui me soit arrivée Wilkes »

Je m’appel Wilkes Welhet, je suis né il y a 17 ans, c’était l’hiver, et il à beaucoup neigé cette nuit là d’après ce que m’a raconté ma mère. Je ne suis pas un enfant désiré, mais malgré tout j’ai la chance d’avoir eu le droit de vivre, enfin, je ne sais pas si je peux considérer ça comme une chance, lorsqu’on voit la vie que j’ai mené jusqu’ aujourd’hui. Je n’ai pas pour principe de me considérer comme un martyr après tout je n’ai peut être rien fait pour me fondre dans la masse de la société faites de mouton tous bien dressé à suivre leur berger au son de sa cloche, mais je peux tout de même affirmer que si la vie ne fait pas de cadeau, je n’ai pas fais exception au dicton.

Je vivais dans un quartier mal vu de Gotham, un endroit malfamé où tous les malfrats se retrouvaient pour parler boulot et parfois plus, un quartier où il ne fait pas bon vivre, en particulier pour un enfant, une ambiance malsaine et froide ou seul l’angoisse et la terreur sont lots quotidiens. Ma mère m’interdisait généralement de sortir après la tombée de la nuit, c’est à ces heures ci que les dealers arpentaient les rues à la recherche de consommateurs toujours plus jeune et toujours plus friqué… de ce point de vu là on pouvait peut être dire que j’avais quand même de la chance, je n’aurais jamais eu suffisamment d’argent pour pouvoir me droguer. En fait, je n’étais pas pauvre non, mais ma mère gagnait suffisamment pour nous permettre de tenir dans un minuscule trois pièces et de manger à notre fin, par la suite me payer des études, mais nous y reviendront. Si je vous parle si souvent de ma mère c’est qu’elle n’est pas comme les autres. Mary Welhet, tous les habitants du quartier la connaissent, tout comme beaucoup de monde dans les alentours. Elle possède une certaine réputation, une réputation qui peut être mal vue pour certains, mais je dois avouer que moi je ne lui en ai jamais vraiment tenue rigueur. Ma mère vend son corps aux hommes, c’est une prostituée, c’est comme ça qu’elle est tombé enceinte de moi, mais je n’ai jamais su qui était mon père jusqu’à aujourd’hui. On à jamais vu une fille de joie avoir des enfants, en général, elles se font avorter ou se font retirer l’utérus pour ne jamais finir en cloque. Pour moi ca à été différent alors qu’avant moi, elle en à tué plus d’un avant même qu’ils ne naissent. Est-ce que ça fait de moi un miraculé pour autant ? Elle, elle pense que oui en tout cas.

Mais alors, vous, vous demandez surement comment est ce que nous pouvions vivre à deux avec ce qu’elle gagnait chaque soir ? C’est bien simple, ma mère ne s’offre qu’aux plus riches, ce n’est pas présomptueux, c’est comme ça, elle fait l’amour comme personne… enfin c’est ce que j’ai entendu d’un homme qui lui avait dit ça après lui avoir remis une somme exorbitante de billet de banque. J’étais jeune, je ne comprenais pas grand-chose, et de toute façon je ne voulais pas savoir pourquoi chaque soir un nouvel inconnu venait se loger dans les bras de ma mère pour ne plus jamais revenir par la suite… sauf pour quelques uns que j’ai pu reconnaîtrais, ils venaient régulièrement. Moi je devais rester caché, une putain avec un gosse c’est mal vu, même pour les clients. Alors c’est dans cette atmosphère morbide que j’ai grandis. Lorsque ma mère ne travaillait pas, elle restait avec moi, elle m’aimait comme une mère peut aimer son fils, elle était tendre et douce, elle me disait que j’étais un trésor et que je ne savais pas la chance que j’avais d’être moi. En effet, je ne savais pas…

Chapitre 2 – 1, 2, 3 nous rirons de toi, 4, 5, 6 vous paierez ce vis…

« Hey Welhet ! Y parait que ta mère collectionne les sauteries ! Elle en ramène combien le soir chez toi depuis que t’es venu au monde ? »
« Surement plus que la tienne qui peine déjà à garder son mari auprès d’elle à ce que j’ai pu voir… »

Une enfance insouciante, ma primaire rythmé par les moqueries des uns et les railleries des autres, mais je me fichais pas mal de ce que l’on pouvait dire sur moi, la plupart du temps dans mon dos, mais les enfants sont loin d’être discret et déjà, j’apprenais à écouter, à comprendre, je connaissais les bonnes cachette de la cour de récrée et je savais tout ce qui se disait sur tout le monde, le soir je racontais tout à ma mère qui s’étonnait que je puisse déjà retenir tant de chose, mais les enfants son aussi incroyablement stupide et avec eux c’est souvent un coup j’t’aime bien, un coup j’te cause plus, j’étais finalement bien content d’être mis à l’écart de tout ça. En grandissant, les choses ont empirée, les préados de 13 à 15 ans sont des monstres, qui n’hésitent pas à te descendre plus bas que terre parce que tu es différent, et à cet âge là on commence aussi à réfléchir, et les enfants de l’école connaissaient bien la réputation de ma mère. Il fallait pourtant le dire, elle était si belle, elle paraissait si jeune, ses long cheveux brun et frisés tombant légèrement sur sa nuque, des yeux verts épurés comme des émeraudes et une taille digne des plus beaux mannequins de mode, sans parler de son visage doux et incroyablement envoutant. Alors qu’à côté de ça, les mères de certains de mes camarades de classe ne ressemblaient guère à plus que des morues passées de date depuis bien longtemps. En fait, c’était presque à se demander ce que je tenais de ma mère, sur ce point la, les autres avaient raison je dois l’avouer, je ne lui ressemblais pas du tout. Mis à part mes yeux verts et mes cheveux bruns.

Alors les insultes et les moqueries continuaient de fuser, toujours plus violentes, toujours plus meurtrissantes, je ne compte plus le nombre de remarques que l’on pouvait me sortir à la minute, s’en était à se demander comment faisaient tous ses idiots pour en trouver autant. Que ce soit sur mon physique ou sur la profession de ma mère en passant par l’absence de mon père, y en avait pour tous les goûts. Envoyez c’est gratuit venez passez vos nerfs sur Wilkes Welhet qui n’a rien demandé à personne !! Ce que ces gamins immatures ignoraient, c’était que sur l’oreiller de ma mère, beaucoup de choses se disent, des choses des fois pas très jolies pour le client, mais après quelques verres d’un bon whisky on ne sait jamais plus trop les choses qu’il faut taire ou avouer d’autant plus que ma mère savait user de ses charmes pour faire parler tous ses pourris plein de frics, elle m’apprenait même certaines choses, bien sur je ne pouvais pas user des même méthodes qu’elle, mais il fallait avouer que j’aimais ces petits cours de théâtres improvisés qui me rendait chaque jour plus assurant et plus sur de moi !

A force de côtoyer les mêmes hommes, d’en savoir encore et toujours plus à leur sujet, j’avais réussis à mettre au point un système de vente d’information de par mes connaissance et mon habileté à manipuler les mots et les arguments, c’était particulièrement amusant de fixer droit dans les yeux un homme dont vous connaissez tous les petits secrets alors que lui ne vous à même jamais vu avant cette nuit. Acheter mon silence, ou au contraire acheter une information ou encore courir soit même après un intéressé pour lui soutirer de l’argent en échange de ce que je savais. Drogue, trafique d’armes, de faux papier ou encore plan d’éradication, rien n’était à délaisser, je tenais à jour une multitude de petits carnets entièrement remplis d’information différente ce qui me permettait de me faire un fond monétaire, Bien entendu ma mère avait rapidement pris conscience de mes petites affaires, mais étrangement elle ne semblait pas si surprise, j’avais même été étonné de ne pas subir de représailles de sa part. En même temps, peut être qu’elle n’était pas si bien placée pour me faire la morale.

J’avais décidé de me servir de tout ce que j’avais appris pour me venger de tous ces gus qui s’étaient payé ma tronche bien trop longtemps à mon goût. Combien ais-je descendu plus bas que terre, jouissant de leur humiliation que j’estimais encore bien trop basse par rapport aux préjudices que j’avais subits. Et je devais le reconnaître… j’aimais ça !

Chapitre 3 – tel père, telle peur

« Tu m’avais dis que tu ne connaissais rien de lui… alors c’est quoi ça ?! »
« Tu aurais su… tôt ou tard »

Nous en arrivons au présent de mon histoire, je viens d’avoir 17 ans, et profitant de l’absence de ma mère je me mets à fouiller longuement dans les placards, je retourne l’armoire entière, des cartons à en veux tu, en voilas, pourquoi ? Je ne le savais pas vraiment encore, en fait je venais surement de réaliser que j’avais passé 17 ans dans le déni et le secret, à l’école, pendant les réunions parents professeur, les filles se pointaient avec leur mère tandis que les garçons eux venaient pratiquement tous avec leur pères… dans ces moments là, je me sentais plus seul que jamais, délaissé comme un oisillon tombé du ni que l’on aurait abandonné pour migrer vers les pays chauds. Alors, je les enviais, ceux que je détestais le plus au monde, je les enviais, je jalousais ce lien qu’ils avaient avec leur paternel quand je savais que le mien n’avais jamais voulu de moi, d’un côté je ne pouvais pas m’empêcher de lui en vouloir à mort et d’un autre je voulais le comprendre. Bien sur… une prostituée ne peut pas être une mère, et pourtant c’est la mienne, et elle m’a mieux élevé que n’importe quelle femme dans ce monde. Et finalement je tombe sur ce que je cherche, ce que j’ai intimement toujours cherché sans le savoir, mon acte de naissance. Il est plutôt bien conservé, c’est l’écriture de ma mère, il y a écris mon prénom et mon nom, en haut a droite celui de ma mère et juste avant… je n’ose pas regarder, et si c’était l’un des hommes qui venait la voir régulièrement, tous ses pourris, je ne voulais pas d’eux comme père, alors j’hésite, j’ai presque envie de le reposer et de faire comme si je n’avais rien vu, tout oublier et me faire une raison. Mais ma curiosité est trop forte et mon regard se plonge sur le bout de papier jaunis par le temps. COBBLEPOT. C’est le nom qu’il y a écris à l’emplacement réservé au nom du père. Il n’y a pas de prénom… c’est peu, mais ce nom me dis quelque chose, j’ai déjà du l’entendre ou le voir quelque part il n’y a pas d’erreur possible

Lorsque ma mère rentre inutile de dire à quel point je suis furieux, inutile de préciser à quel point je lui en veux de m’avoir caché cette vérité, et bien malgré moi je dois l’admettre, je me mets à lui hurler ma rancœur au visage, secouant l’acte de naissance sous ses yeux alors qu’elle semble terrorisé par son propre fils. Je me rends compte que ma colère m’a fait sortir de mes gongs, je n’avais jamais osé cirer comme ça contre la femme que je louais le plus au monde. Elle pleure, elle me dit qu’elle n’a jamais osé avouer la vérité à mon père parce qu’elle avait trop peur de sa réaction, elle pensait que de toute façon il ne m’accepterait pas et elle n’avait jamais voulu m’en parler à moi non plus car selon elle, partir à sa recherche était bien trop dangereux, elle s’excuse de m’avoir caché la vérité mais je garde ce regard glacial posé sur elle comme si indépendamment de ma volonté je ne pourrais jamais lui pardonner son secret, j’ai l’impression de me renfermer sur moi-même de seconde en seconde et finalement je quitte la pièce principale pour me rendre dans ce qui me sert de chambre, je fais mes valises, j’emporte le précieux document avec moi et enfin, je quitte la maison dans laquelle j’ai toujours vécu, je quitte ma mère sans même lui dire au revoir ni combien je suis désolé de l’avoir mis dans cet état… sans même lui dire que je l’aime ni si je reviendrais un jour…

Chapitre 4 – Seul au monde

« Eloigne toi d’ici gamin, c’est dangereux !!! »
« Mais vous ne comprenez pas ! Ma mère est à l’intérieur ! »

Cette fois je suis décidé à savoir, à comprendre qui je suis réellement et je suis près à tout pour trouver qui est vraiment mon père et ou il se trouve. Mais… dans mon périple je n’aurais jamais imaginé que retrouver quelqu’un allait être aussi dur, lorsque je cherche à obtenir de l’aide des passants, ils me rient au nez… pourquoi ? Qu’est ce qu’il y a de drôle pour un fils de vouloir connaître l’homme à qui il doit la vie ! Les jours s’écoulent au compte goutte mais j’ai l’impression que je n’avance pas, au contraire, j’ai même l’impression de reculer. C’est déroutant, et je commence presque à me demander si ma mère n’avait pas raison depuis le début. J’ai besoin de prendre du recul et je me décide finalement à rentrer chez moi, je suis parti depuis un petit moment et j’imagine que ma mère doit se faire un sang d’encre. Mais lorsque j’arrive dans le quartier, il y a une agitation monstre dans les ruelles, j’entends des sirènes, celle des pompiers on dirait, je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’impression que quelque chose de très grave est arrivé. Lorsque j’arrive devant chez moi je constate que l’appartement ainsi que ceux qui l’entoure son entrain de baigner dans une mer de flamme gigantesque. Je n’en crois pas mes yeux, je n’ose même plus bouger tant le spectacle me terrorise, la foule se précipite, me bouscule, il y a des ambulances et la police aussi mais je ne veux même pas envisager l’hypothèse qui me traverse l’esprit de part en part. Finalement je me décide à m’avancer en hâte, je bouleverse la foule qui m’entour n’hésitant pas à jouer des coude pour me frayer un chemin mais les pompiers m’empêchent de m’approcher plus, pourtant ma mère est là, je les supplie de la sauver, après tout je n’ai que 17 ans.

Avec mon insistance, les pompiers finissent par me dirent qu’ils ont sorti une femme de l’appartement qui constitue le foyer principal du feu, elle est dans un état critique et à été conduite à l’hôpital. Je n’y crois pas, je ne veux pas y croire et au bout du compte, c’est la police qui se décide à m’emmener la voir, dans la voiture ils me posent une foule de questions auquel je ne réponds pas et lorsque j’arrive finalement à l’hôpital je me rue sur la première infirmière qui passe, je veux voir ma mère, mais la jeune femme me fixe avec un regard affreusement triste. Un gouffre énorme se creuse sous mes pieds, j’ai l’impression de flancher. J’ai envie de pleurer mais je n’y arrive pas aucune larme ne parvient à quitter mes yeux pourtant j’ai cette affreuse boule dans la gorge qui précède les sanglots. Le docteur arrive enfin, il me dit qu’il est désolé, ah oui ? Et de quoi ? De ne pas avoir réussis à sauver ma mère ? Et bien cette excuse ne me conviens pas… je le déteste, je les déteste tous, tous ses pompiers inutiles tous ces médecins riche comme crésus qui n’en foutent pas une, j’aimerais qu’ils brûlent en enfers comme les flammes qui on tué ma mère ! Le docteur me montre une pièce du bout des doigts, elle est là-bas, mais il me déconseille d’aller la voir car elle est méconnaissable alors va savoir pourquoi, je n’y vais pas. Deux policiers sont à mes côtés, je ne pleure toujours pas, je garde mon regard perdu dans le vague, complètement éteint, ils doivent penser que j’ai un cœur de pierre et pourtant il est brisé en mille morceau comme du verre fragile.

Nous quittons l’hôpital et je me retrouve rapidement entouré de policiers qui me posent des questions qui s’entrechoquent dans ma tête, je reste muet, ils me disent que les services de protection de l’enfance vont s’occuper de moi et me trouver une nouvelle famille, je n’en veux pas. Alors au bout de quelques heures de tentative de communication infructueuse, quelqu’un se pointe au commissariat, il dit qu’il vient pour moi, surement un des gars dont parlait les flics un peu plus tôt, il m’invite à me rendre dans une autre pièce pour discuter seul à seul avec moi. Il me dit que je n’ai besoin de rien lui dire, qu’il sait déjà tout et qu’il à soit disant quelque chose à m’annoncer. Je redoute le pire. Mais au lieu de ça, il me tend une feuille de papier, je la lis attentivement et au fur et a mesure, mon regard se fige, il s’agit d’une fiche d’information qui indique les coordonnées de mon parent le plus proche et à ma grande surprise je reconnais le nom… c’est le même que celui sur mon acte de naissance que j’ai conservé précieusement avec moi, il s’agit donc de mon père. C’est presque trop beau pour que je puisse y croire. Cette fois, je vais prendre les choses en main, je profite que l’homme me laisse seul quelque minutes pour quitter le commissariat avec tous les papiers qu’il avait ramené, ils vont surement essayer de me retrouver mais j’ose espérer que j’aurais gagné suffisamment de temps pour prendre de l’avance sur eux et me rendre moi-même à l’adresse indiquée sur le papier, je n’ai pas besoin de tous ces idiots, je parviendrai à mes fin par mes propre moyen, je suis bien décidé à retrouver mon père et à montrer à ma mère que ce n’était pas impossible de le retrouver ! Alors que je m’éloigne petit à petit, je repense à notre dernière discussion et je me rends compte qu’elle est partie sans même que je ne puisse lui dire, combien j’étais fier d’être son fils. Maintenant je n’ai plus rien pour me retenir.

Je m’appelle Wilkes Welhet, mais plus pour longtemps…

Famille :
Oswald Cobblepot (père)
Mary Welhet (mère décédée)

Alliés :
Le Pingouin (à venir)
Ennemis :
Les justiciers en général bien qu’il ne soit pas encore vraiment reconnu comme un criminel.

Compétences :
Grand tacticien : A peine adolescent, Wilkes sait déjà tirer profit de tout ce qu’il peut voir ou entendre à son avantage, il lui est facile de mettre en place des plans réfléchis et parfaitement établis
Manipulateur et bon comédien: Il connait les mots qu’il faut, quand il faut et possède un grand sens de persuasion qui fait que l’on peu facilement se fier à lui, même lorsqu’il ne le faudrait pas.
[Compétence à développer par la suite…]

Hors Jeu

Présentation : Jason, ça vous dis quelque chose?

Disponibilités : presque 7j/7

Pourquoi avez-vous choisi ce personnage? C’est partit d’une simple discussion avec le Pingouin et puis il c’est avéré que l’idée du personnage me plaisais beaucoup et par conséquent j’ai voulu l’approfondir !

Avez-vous lu le règlement et approuvez-vous tous les points? Evidemment!


Dernière édition par Wilkes Welhet le Lun 15 Oct - 20:18, édité 4 fois
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Le Pingouin

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MessageSujet: Re: Wilkes Welhet, fils de criminel   Wilkes Welhet, fils de criminel Mininew-3561a9aLun 15 Oct - 19:45

Je valide,

J'aime beaucoup, ça m'a touché.
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Damian Wayne/Robin

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MessageSujet: Re: Wilkes Welhet, fils de criminel   Wilkes Welhet, fils de criminel Mininew-3561a9aMar 16 Oct - 5:06

Bonjour et re-bienvenue.
Belle fiche pour un personnage inventé et pour un second personnage.
Hélas, on ne choisis pas ses parents.

Bon jeu.
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Le Pingouin

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MessageSujet: Re: Wilkes Welhet, fils de criminel   Wilkes Welhet, fils de criminel Mininew-3561a9aMar 16 Oct - 7:08

Voilà

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Jonathan Crane/Scarecrow

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MessageSujet: Re: Wilkes Welhet, fils de criminel   Wilkes Welhet, fils de criminel Mininew-3561a9aMar 16 Oct - 12:47

Bonjour et rebienvenue à Univers Gotham!

J'ai été agréablement surpris par le contenu de cette fiche pour un personnage qui n'existe presque pas!

Bonne chance pour le rp puisque tu es déjà validé et avec raison! N'oublis pas de créer la fiche rp!
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MessageSujet: Re: Wilkes Welhet, fils de criminel   Wilkes Welhet, fils de criminel Mininew-3561a9a

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